Angèle – Chapitre 01

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J’établis chaque année les déclarations d’impôts d’Angèle, ma cousine et marraine, ainsi que celle de ses parents et de ses 2 frères, mes cousins. La tâche m’incombe depuis que l’administration fiscale a incité les contribuables à se connecter sur Internet pour déclarer leurs revenus, développant ainsi le « zéro papier » dans le cadre de la protection de la planète et de ses ressources. Vu qu’elle n’y connaît rien, ma cousine s’incruste chez-moi chaque fois que c’est nécessaire.

Elle a 55 ans et occupe un poste de secrétaire au sein du service expédition d’une grande société de vente de bijoux par correspondance. Habituellement, les secrétaires ont du style… pas elle! Elle s’habille comme une roumaine, toujours au moins cher… c’est une radine qui, bien qu’étant ma marraine, m’a rarement gâté pour mon anniversaire ou Noël… je me souviens encore de ses cadeaux… d’abord parce qu’ils furent rares et d’autre part parce qu’ils étaient tous extraordinaires! Par exemple, elle m’offrit une fois un billet de 1 Dollar… 1 seul minable et misérable Dollar! Je travaillais depuis longtemps à l’époque de ce cadeau et je fêtais mes 35 ans ce jour là… une autre fois, ce fut un livre sur le foot et une raquette de tennis… un livre d’occasion sur une gloire obscure de D2… la raquette était un jouet en plastique pour enfant, avec des balles en mousse… sur l’emballage il y avait une étiquette flashy mentionnant l’âge idéal pour apprécier ce jouet… +5! J’en avais 18…

Angèle est vieille fille et va à la messe tous les dimanches… elle collectionne tout et n’importe quoi, des bouteilles de parfum vides aux surprises dans les œufs Kinder… il y en a plein les étagères de sa chambre qui est un vrai bordel, parait-il… « Parait-il » oui, parce que personne ne l’a jamais visitée pour en témoigner… une vraie zone 51! Défense d’entrer sous peine d’être abattu sans sommation! Elle seule en a la clé, c’est son royaume… elle y passe le plus clair de son temps et le protège avec tant de hargne que tout le monde se demande quel trésor s’y cache ou ce qu’elle peut bien y faire de tellement spécial que cela doive rester secret… l’idée qu’elle puisse simplement éprouver le besoin de s’isoler pour être au calme ne traverse pas les esprits, évidemment!

Pourtant, si cette pièce revêt tant d’importance aux yeux d’Angèle, c’est parce qu’elle vit toujours chez papa-maman… pour être exact, ce sont eux qui vivent chez-elle puisqu’elle est propriétaire de la maison qu’ils occupent ensemble. Elle l’a payée sur ses seules économies complétées d’un crédit sur 20 ans puis les a installés au rez-de-chaussée… un geste qui l’honore, quoiqu’à bien y réfléchir, ils auraient du garder leur indépendance, car depuis, madame se fait servir! Son père, mon oncle Guido, prépare tous ses repas… du petit déjeuner au souper, il cuisine pour elle les menus qu’elle établit chaque semaine, puis monte à l’étage lui servir son plateau… il doit frapper 2 coups à sa porte pour l’avertir puis redescendre illico… quand elle a mangé, il revient débarrasser à son signal… mon oncle a 85 ans, des problèmes aux genoux en plus d’être cardiaque mais peu importe! Il doit se taper ces foutus escaliers 6 fois par jour pour satisfaire Miss Peggy!

Voilà pour la personnalité de ma cousine… quant à son physique, je n’évoquais pas Peggy la cochonne sans raison… Angèle se porte bien sans être grosse, elle a un gros nez en chou-fleur au milieu d’un visage rond terminé par un double menton et des joues qui pendent de chaque côté… le tout sous de longs cheveux gris mal entretenus au point qu’on les dirait sales! Un détail cependant vient éclairer ce tableau peu ragoûtant : l’éclat sublime de ses yeux verts… un regard magnifique malheureusement caché derrière une paire de lunettes tristounette, le modèle de base, celui remboursé à 100% par la sécu, le moins esthétique évidemment, mais le plus économique! Et vous l’aurez compris, le style n’est pas ce qui caractérise le mieux ma marraine…

Bien que quinquagénaire, elle souffre régulièrement de fortes poussées d’acné… j’imagine que sa virginité notoire et le fait qu’elle s’empiffre de cochonneries sucrées ou salées le soir en cachette dans sa chambre en sont la cause… Angèle n’a jamais eu de petits amis, non, aucune relation intime, pas le moindre rapport un tant soit peu tactile avec un homme… ni avec une femme d’ailleurs! Elle ne fait rien pour faciliter les choses de toute façon, et sa voix super aigue qui vous vrille les tympans dès qu’elle commence à hausser le ton ne fait rien pour arranger les choses… bref! Ma cousine n’est pas une femme bien engageante et encore moins appétissante…

Pourtant, malgré tous ses défauts et son incapacité à se mettre en valeur, je la trouve plutôt bandante! J’aime ses formes, son cul rebondi, sa bonne paire de seins… et allez savoir pourquoi, je suis sûr qu’elle aime le cul! Je le sens… je l’imagine très bien se doigter comme une folle dès qu’elle s’enferme bursa escort dans sa chambre… sans parler de ce côté grenouille de bénitier! C’est bien connu, toutes les bonnes du curé sont des chaudasses sous leurs airs de sainte nitouche… en quoi cela serait-il contradictoire d’ailleurs? Pourquoi les folles de la messe seraient-elles inévitablement des molles de la fesse? Je vous le demande…

L’année dernière, quand j’ai fait ses impôts, elle m’a offert un petit carnet à spirale et une image 3D de dinosaure pour me remercier… LOL! Imaginez ma tête du haut de mes 40 ans… mais comme d’habitude, j’ai accepté son petit présent avec le sourire et un tonitruant «Merci, marraine»! Cette année, les choses ont été bien différentes, fini de jouer les hypocrites… j’ai enfin demandé et obtenu une rétribution qui soit à la hauteur de mes services… jamais déclaration d’impôts ne fut plus agréable à faire! Voici comment les choses se sont passées…

Il y a 3 semaines, ma marraine se pointe donc chez-moi… elle porte une robe longue, bleue à petites fleurs blanches, un gilet de laine jaune moutarde par-dessus et des chaussures plates roses… ça pique les yeux! Elle a aussi ses sempiternels collants couleur chair… j’imagine que ce sont des collants, pas des bas, c’est certain! La robe se boutonne sur le devant, du ventre à l’encolure qui est très évasée et rehaussé d’une délicate broderie, la même qui habille le pourtour de ses manches courtes… Angèle est nerveuse depuis son arrivée… l’acrylique de sa robe bon marché colle beaucoup trop à ses formes avantageuses malgré ses tentatives désespérées d’y remédier en tirant sans cesse dessus aux endroits où la robe la moule le plus, c’est-à-dire les hanches, les fesses, et puis devant aussi, du ventre à la poitrine… elle est mal à l’aise mais moi je me régale! Et je commence à loucher sérieusement sur ses courbes si joliment mises en valeur…

« – Donne-moi ton gilet, marraine, je vais te débarrasser… (Aucune galanterie de ma part, je veux juste profiter du spectacle de la robe collant à ses gros seins)

– Oh euh… non ça va, merci…

– Mais si, allez… mets-toi à l’aise, tu me donnes chaud! Et puis elle est jolie ta robe, marraine… ça te va super bien!

– Oui, tu trouves? Oh merci! J’ai fait une de ces affaires… je l’ai eu pour 10 Euros, chez Kiabille! Avec 1 foulard et 1 paire de ballerines assorties en plus! Mais tu sais que j’ai du me battre avec la caissière? Elle ne voulait pas me faire ce prix là au début! Mais je lui ai dis! T’aurais vu comme j’ai crié dans le magasin! Héhéhéhé! Non mais oh! C’est des malins quand même… c’était une promo valable jusqu’au soir mais quand je suis arrivée, ils étaient déjà en train de redéployer chaque élément individuellement, tu sais… c’était 19h00 à peu près, un peu moins d’1 heure avant la fermeture… mais ce n’est pas une raison! Il ne restait plus que cette robe dans le bac! Ah j’ai dit celle-là ils ne l’auront pas, elle est pour moi! Héhéhéhé! Je lui ai dit à la fille « Y’a encore le carton affiché au-dessus du bac, mademoiselle! 1 robe + 1 foulard + 1 paire de ballerines = 10 € »! Non mais, elle croyait quoi, celle-là?! Héhéhéhé! C’est du vol de faire ça, dis… si ils affichent une promo, ils sont obligés de la respecter! Elle est jolie, oui… je suis contente si tu la trouves belle aussi… pas mal pour 10 Euros, non? (Elle retire son gilet qu’elle me confie avec un énorme sourire, fine heureuse de recevoir mes compliments pour cette incroyable affaire qui ne lui a pas échappée)

– Ça vaut le coup… tu as bien fait de gueuler, marraine! Heureusement que tu ne te laisses pas faire et que tu sais te défendre, toi! C’est dingue! Imagine quelqu’un qui n’a pas ton caractère!

– Oh ben il se fait voler!

– C’est clair! Ha les escrocs! Je te débarrasse de ton sac aussi?

– Euh… non je vais le garder, Dominique… j’ai tous les papiers dedans.

– OK! Assied-toi, marraine, je t’en prie!»

Elle va prendre place autour de la table du salon sur laquelle mon ordinateur portable est déjà installé… j’adore cette robe et la façon qu’elle a de venir mouler ses hanches et ses seins… abstraction faite de ses défauts, j’avoue que la cousine a un corps plutôt bandant! Elle se penche pour poser son sac au pied de sa chaise et patatras! D’un coup je l’entends couiner à tue-tête et je la vois partir d’avant en arrière… elle fait de grands moulinets avec les bras pour essayer de retrouver son équilibre et réussit fort heureusement à se rétablir par elle-même au bout de quelques secondes… elle a eu de la chance parce que de mon côté c’est encéphalogramme plat! Mon cerveau a totalement buggé! J’ai carrément bloqué sur les secousses impressionnantes de sa généreuse poitrine dés qu’elle s’est mise à gigoter! Sa robe a tellement collé à ses gros seins que c’est comme si je les avais vus nus… quelle paire! Bien que fugace, cette vision déclenche mon érection et je me dis que j’ai bien fait d’avoir bursa escort bayan enfilé un bas de survêtement ce matin… j’ai intérêt de détourner l’attention d’Angèle avant de m’asseoir, sinon la jolie bosse qui est en train de se former sous mon jogging risque de la faire tomber de sa chaise une deuxième fois!

Je me connecte et c’est parti! Assis face à face on boit le café, on parle un peu de la famille, du beau temps, de tout et de rien… je la complimente une nouvelle fois sur sa robe en souriant bêtement… elle plane littéralement et me sourit tout aussi niaisement! Comme chaque année, j’ai sa déclaration à faire mais aussi celle de ses parents et de ses 2 frangins, mes cousins, de parfaits abrutis imbibés au pastis du matin au soir… je mate régulièrement sa généreuse poitrine par-dessus l’écran de mon portable, ses seins qui bougent lourdement au moindre mouvement et ses mamelons qui pointent à force de frotter contre le tissu… j’ai vraiment du mal à rester concentré… entre 2 saisies, je glisse une main sous le survêtement et je me tripote discrètement sous la table…

Ma tâche enfin terminée, Angèle me remercie chaleureusement en me disant qu’elle serait perdue sans moi, puis elle prend son sac d’où elle sort un paquet de biscuits qu’elle me tend… comprenant que ce sera ma récompense pour le travail fourni, j’éclate de rire!

« – Wow… J’ai plus 10 ans, Angèle!

– Ben quoi!? Tu n’aimes pas les Petits Beurre??? Mais tout le monde aime ça pourtant, les Petits Beurre!?! »

Avec cette voix qui part en vrille quand elle monte dans les aigus, on dirait qu’elle hurle… c’est insupportable! Elle continue de claironner de sa voix stressante et nasillarde mais je finis par hausser le ton…

« – Hé, Oh! Ça va… je me tape les déclarations de toute ta famille depuis des années et je ne compte même pas les fois où en plus j’ai du te raccompagner chez-toi après! Je crois que ça vaut un peu plus qu’un paquet de gâteaux, non?

– Tu veux de l’argent?

– Non, non! Jamais d’argent quand je rends service à la famille, tu le sais bien… par contre, il y a quelque chose qui me ferait vraiment plaisir!

– Je sais que tu es un garçon serviable, Dominique, et je n’ai jamais eu à m’en plaindre, au contraire! Alors dis-moi ce que je peux faire pour toi, mon filleul, je t’écoute!

– Tu vas me sucer!

– Je quoi??? (Elle frôle la crise cardiaque) Mais ça va pas?!

– Oh ta gueule! C’est bon… baisse d’un ton… tu ne vas pas en crever… (Je plonge sous mon survêt et brandis ma queue) Regarde… je bande depuis le moment où tu as failli tomber, marraine… (A partir de cet instant, elle n’arrivera plus à détacher son regard de mon bas-ventre) »

Je l’appelle rarement « marraine »… uniquement dans les grandes occasions, quand elle m’offre un cadeau, pour lui présenter mes voeux… c’est ma façon de lui témoigner mon respect… elle réagit toujours positivement dans ces cas-là! Elle aime se sentir importante…

« – Tu n’as pas envie de la prendre dans ta main? Tu as déjà touché un homme, marraine? Un sexe en érection? Le mien est tellement dur…

– Je… nnn… mmm-mais…

– Je mérite une récompense plus sympa que des gâteaux secs, non? Et puis les jeux érotiques entre cousins et cousines, marraines et filleuls, ça n’a plus rien d’extraordinaire au 21ème siècle! C’est même plutôt répandu parce que j’ai lu des tonnes de témoignages sur le sujet… tiens, rien que dans notre famille! Tu savais que Claudio le fils de tonton Alfio avait couché avec Lulu, l’ex de ton frère Nunzio? Même avec Christelle, la fille de tata Maria… et Anna, sa marraine, tu savais qu’elle l’avait sucé comme cadeau de Noël? Alors tes petits Beurre…

– Lulu? Anna?? Mais je… euh non… de toute façon je lui ai toujours dit à mon frère qu’il épousait une salope! Il paraît même qu’elle a couché avec ses 2 frères la veille du mariage parce qu’ils étaient tristes de la voir quitter la maison…

– Ha celle-le je ne la connaissais pas! Mais j’adore l’idée…

– Quoi? Mais qu’est-ce que je raconte?!? Ça ne change rien au problème!!

– Hé! Tu ne veux pas arrêter de gueuler, marraine? Ça me vrille les tympans, je te jure… je ne t’ai pas violée, bon sang! Pas encore en tout cas… je plaisante!!! (Vu sa tête j’ai bien fait de préciser) Mais j’aurais adoré que tu me fasses cadeau d’une fellation pour un de mes Noëls… y’en a qui ont de la chance!

– Dominique!?!?!? Mais… mais je… mais qu’est-ce que tu dis?

– Marraine, s’il te plait… j’ai l’air de quoi avec mon truc à l’air? Le nombre de fois où je t’ai rendu service, franchement… et toujours avec le sourire en plus! Alors tu peux bien faire ça pour moi…»

Lentement, je me rapproche… elle a ma verge à quelques centimètres du visage et n’ose plus rien dire mais elle m’écoute sans protester ni m’interrompre… elle rougit, regarde mon pénis si proche, revient à mes yeux, descend sur mon bas-ventre… escort bursa elle est écarlate… elle se tient raide comme une statue, le corps rivé à la chaise pour éviter tout mouvement inopiné… car si elle tourne la tête, ne serait-ce que légèrement, elle aura mon sexe pile devant la bouche! Elle essaye de fixer le mur devant elle mais je vois bien que son regard est fortement attiré par la masse de ma verge en érection… elle n’en a pas une vision directe mais c’est encore pire! Elle voit cette forme énorme aux contours imprécis secouer doucement sur le côté de son visage, ça la fait loucher, c’est un aimant à l’attraction fatale… aussi longtemps qu’elle fixe le mur elle est sauve… mais sa tête ne demande qu’à tourner! Même si elle en crève d’envie, elle doit se battre un minimum, se faire désirer pour sauvegarder les apparences… elle ne peut pas tomber à genoux sur commande et me sucer la bite aussi vite! Non… qu’est-ce que je penserais d’elle?

Je caresse une épaule puis son dos… je ne sens pas la moindre armature de soutien-gorge…

« – Tu n’as pas de soutif… ça m’étonne beaucoup venant de toi et c’est à cause de ça que je bande depuis tout à l’heure, marraine… je vois tes nichons se balancer dans tous les sens… (Je caresse ma verge) t’as une de ces paires… toutes les cousines se foutent de ta gueule mais au final je préfère ton style… tu ne te mets jamais en avant et une femme pour moi, c’est ça… c’est toi… les autres ne sont que des putes! Je peux te parler franchement, marraine? Sans prendre de gants, te parler librement, en toute franchise… tu sais que je vis seul depuis plusieurs mois… ma séparation avec Heike (Mon ex, une allemande) n’a pas été facile… je déprime souvent en y repensant, le soir surtout… c’est dur la solitude, le silence, me retrouver d’un coup sans personne autour, seul avec moi-même dans ce grand appartement… je suis un homme, marraine, et un homme en pleine force de l’âge… et j’ai des envies d’homme que je n’arrive pas tout le temps à maîtriser, comme maintenant… quand ça devient trop fort je fais comme tout le monde et d’habitude je me masturbe! Mais je ne suis pas tout seul aujourd’hui… tu es là, sans soutif et je n’ai que tes seins en tête, marraine… et une de ces envies de me soulager! Je bande tellement que j’en ai mal… j’ai envie de te peloter et de me masturber en même temps, Angèle… je n’ai jamais eu beaucoup d’aventures, tu le sais bien… je n’ai jamais été un coureur de jupons alors j’ai souvent eu recours aux plaisirs solitaires… et comme tu fais partie des femmes de ma vie, c’est souvent ton image qui m’apparaît… dès que je ferme les yeux je te vois dans mes bras… je vois ton corps, ta bouche, tes hanches, tes seins… tes gros seins! Je suis dingue des gros seins, marraine! Et de ce côté-là, tu es plutôt bien pourvue… je ne sais pas pourquoi tu es restée célibataire… parce que tu es bien foutue mine de rien et tu pourrais faire bander n’importe quel mec, crois-moi! Regarde dans quel état je suis… marraine… fais quelque chose s’il te plaît… dis-moi oui ou merde mais parle-moi… tu ne veux pas sentir comme je suis dur? Je veux voir tes seins… je vais les caresser, d’accord? Tu veux bien, marraine? N’aie pas peur surtout… au contraire! Si c’est vrai que tu es encore vierge, je veux te rendre heureuse te faire jouir! C’est assez direct mais je t’ai dit que je te parlerais franchement… je n’ai pas beaucoup d’expérience et toi pas du tout… ça pourrait être sympa de le faire ensemble… on n’a pas des vies géniales alors pourquoi on n’aurait pas droit à un peu de bonheur, nous aussi? Si tu veux partir, je ne te retiens pas, tu es libre de le faire, marraine, tu as le choix depuis le début… j’ai envie de toi, marraine… tu as déjà entendu beaucoup d’hommes te dire ça dans ta vie?»

Lentement, ma main descend jusqu’à la boutonnière… je défais 1 bouton, puis 2… les 3 premiers sous le col. Je suis aussi nerveux qu’elle et mes doigts tremblent… ce que je remarque surtout, c’est qu’elle se laisse faire… je glisse une main sous l’encolure, ma gorge s’assèche… j’ai un sein sous ma paume… c’est bien plus gros que je ne l’imaginais! Tout comme la bosse de mon survêtement qui a doublée de volume… mes doigts s’enfoncent dans la boule que je palpe et malaxe doucement… je sens Angèle frémir et tout son corps vibrer… penché sur elle, je murmure à ses oreilles mon désir incestueux pour sa virginité… elle suit du regard le mouvement de ma main passant d’un sein à l’autre sous sa robe en prenant soin de faire grossir ses mamelons… son cœur bat plus vite, sa peau est brûlante… j’écarte largement la boutonnière… mon visage à hauteur de ses seins, je la regarde et referme mes doigts autour d’une des larges aréoles… le mamelon va et vient sous mon nez… elle inspire, il monte… elle expire, il descend juste devant mes lèvres qui d’un coup l’emprisonnent et l’aspirent… ma langue s’enroule tout autour et l’enduit de ma salive chaude… elle tente de rester immobile, insensible à ma caresse mais elle halète doucement et baisse les yeux afin d’épier ma bouche allant d’un sein à l’autre pour sucer goulûment ses belles pointes roses…

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