Le Destin s’invite pour Noël

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Kiss

Les personnages et les événements de ce récit sont fictifs, toutes ressemblances avec une histoire ou des personnes réelles, passés, présents, ou à venir, ne sont que de pures coïncidences.

Trévor :

Bonjours, je me prénomme Trévor, j’ai 26 ans, je mesure 1,80 m et bien musclé . J’ai les cheveux brun foncé, le teint basané et les yeux marron. De plus, je suis le cadet d’une fratrie de 5, dont 15 années me séparent de ma sœur qui me précède. J’ai donc été l’enfant surprise de mes parents qui n’attendaient vraiment pas ma venue. Je vous présente ma famille en commençant par ma sœur qui me précède. Elle se nomme Suzanne et elle est âgée de 41 ans. Puis une autre sœur nommée Jasmine, qui a 43 ans. Puis un frère nommé qui est âgé de 44 ans et mon frère ainé Marcel âgé de 47 ans. Et finalement il y a mes parents qui sont encore tous deux en pleine forme. Il y a ma mère Ginette, 62 ans et mon père Yvon âgé de 66 ans. Tous deux sont encore très actifs auprès d’œuvres de bienfaisance. Côté familiale, je suis célibataire depuis 6 mois et je n’ai pas encore d’enfant, ce qui n’est pas le cas pour mes frères et sœurs. Suzanne est en couple avec Paul qui a 44 ans et tous deux ont eu deux enfants. Ensuite il y a Jasmine qui est en couple avec André, 44 ans qui ont eu quatre enfants. Puis il y a Christian et sa conjointe Nadia qui ont eu une seule fille. Et enfin il y a Marcel et sa conjointe Tania qui ont eu deux fils ans. Petit fait cocasse, Éloïse et Kevin sont nés le même jour dans le même hôpital à quelques minutes l’un de l’autre. Donc en cette après-midi du 24 décembre, je suis en route vers le chalet que moi et ma famille avons loué. En fait, ce sont deux chalets que nous avons loués parce qu’un seul chalet aurait été insuffisant pour que tous puissent y passer la nuit. Il y a le chalet-fête, dans lequel nous allons y tenir notre fête familiale de Noël et le chalet-dortoir pour y dormir. Rien de vraiment original comme nom.

Alors que j’étais en route avec ma Toyota Dyna 400, un camion équipé d’une plateforme de remorquage. Je travaille à mon propre compte pour transporter des équipements lourds et parfois il m’arrive d’être appelé pour remorquer des voitures en panne ou simplement de les sortir de situations précaires. Bref en route, j’écoute des chansons de Noël à la radio alors que la programmation est coupée pour un bulletin spécial météorologique annonçant qu’il y aura une tempête de neige dans la région qui débutera probablement en début de soirée. Il est 14 h alors que j’arrive à destination. Il y a déjà 20 cm de neige qui couvre le stationnement alors que je débarque de mon camion, je prends mes paquets contenant les présents et ma valise contenant mes effets personnels et je me dirige vers le chalet-fête. J’entre et, après les salutations coutumières, je vais placer mes paquets au pied de l’arbre de Noël, tout décoré, et je vais placer ma valise dans la chambre à coucher au rez-de-chaussée qui sert d’entrepôt pour les bagages. Puis je rejoins les autres au salon pour discuter. Dans la famille, il est de coutume de s’habiller aux couleurs de Noël dans le temps des fêtes. Donc pour faire dans la tradition, je suis habillé comme un elfe du père Noël, soit des leggins annelés rouge, vert et blanc avec une chemise assortie aux leggins avec dessin du renne au nez rouge et une paire de souliers verts avec des lacets rouges. Par chance que tous les gars sont habillé de même sinon ce serait la honte pour mon égo.

Jennifer :

Salut, je me prénomme Jennifer, j’ai 19 ans, je mesure 1,63 mètre et physiquement svelte. Depuis 3 mois, je suis en couple avec Kevin, le fils de Tania et Marcel. J’ai les cheveux blonds les yeux verts clair et la peau laiteuse. J’étudie au Cégep en T.E.S. (Technique d’Éducation Spécialisée) Kevin m’ayant averti de la tradition de sa famille, je suis allée m’acheter un ensemble aux couleurs de Noël, soit une robe, de style poupée de porcelaine, couvrant mes genoux. Ma robe est de couleur rouge en velours avec une bordure de fausse fourrure blanche à la base de la jupe et des manches bouffantes et un décolleté assez sobre de forme carré avec une légère pointe en V à l’avant couvrant entièrement mes seins de taille B+. Sur ma tête, je porte un bandeau vert surmonté d’une moyenne boucle rouge au centre. Sur mes jambes, je porte une paire de bas de nylon blanc qui remonte assez haut en dessous de ma robe et, à mes pieds, je porte une paire de souliers mocassins de couleur verte avec une boucle rouge sur chacun d’entre eux. Pour mon maquillage, j’ai opté pour un mêlage de rouge sur mes lèvres et mes joues et de vert ombré comme mascara et un crayon vert plus foncé comme eye-liner. Après avoir été ralenti par un accident de la route et par la tempête de neige qui a commencé alors qu’on était à encore une vingtaine de kilomètres de notre destination, nous somme finalement arrivé juste à temps pour le repas, soit à 17 h.

Trévor :

Alors que moi et mon frère Christian sommes dans la cuisine à aider les cuisinières à transporter les plats à bursa escort l’immense table, j’entends Kevin entrer dans le chalet, mais, d’où je suis, je ne peux pas le voir ni lui ni sa nouvelle copine, dont je ne connais que parce que j’ai entendu dire. Alors que c’est le temps de se mettre à table, les deux retardataires sont quant à eux, occupés à décharger le véhicule de Kevin. Je m’installe donc sur un des bancs à deux places qui sont situées presque au bout de la table. À ma droite se trouve ma sœur Suzanne et en face de moi se trouvent mon frère ainé et sa conjointe. Sur le banc, à ma gauche, est assise Éloïse et sont installés, face d’elle, ses parents.

Jennifer :

Après avoir été ranger nos affaires, je m’approche de la table avec Kevin et je m’aperçois que l’on ne pourra pas s’assoir sur le même banc. Alors que j’hésitais à choisir ma place, Kevin se précipite sur le banc, sur lequel se trouve sa cousine, ne me laissant pas le choix que de m’installer à côté de son oncle Trévor. Je m’installe donc à côté de lui et comme à mon habitude, lorsque je m’installe à un ban, je retire mes souliers, que je place sous le banc, je replie mes jambes sous moi en plaçant mes pieds du côté droit. Son oncle ne semblant pas s’être aperçu de ma présence, j’en profite pour me pencher vers Kevin afin de lui demander, s’il est possible, qu’Éloïse échange de place avec moi. Ce n’est pas que je sois antisocial, mais je ne connais pas son oncle et je trouverais cela normal de partager le même banc avec mon copain. Mais, au moment où je me penche sur Kevin, je perds l’équilibre et mes pieds heurtent le côté droit de l’oncle Trévor.

Trévor :

Alors que je suis en discussion avec Suzanne, je perçois qu’une personne s’est assise à côté de moi, mais trop attentif à la conversation que j’ai avec ma sœur, je ne prête guère attention à ce qui se passe à ma gauche. C’est alors que j’entends un cri de frayeurs et au même moment, je ressens un choc sur mon côté gauche, au niveau de ma hanche. Par réflexe, je saisis ce qui m’a heurté et le plaque sur le banc en me retournant. Je m’aperçois alors que ce sont les pieds de la copine de Kevin qui m’avaient heurté. Elle se retourne vers moi d’un air mi-apeuré mi-surpris. Je peux sentir les rapides battements de son cœur à travers ses collants de nylon.

Jennifer :

À l’instant que je bascule sur ma gauche, je me mets à crier et pratiquement au même moment, je ressens que l’on m’agrippe par les chevilles, ce qui me permet d’éviter l’humiliation totale, voire de me blesser. Surprise, je me retourne et je tombe nez à nez avec l’oncle Trévor qui me retient par les chevilles. Sa poigne est ferme sans être douloureuse. Elle est même plutôt réconfortante à un certain niveau. Et là, il me regarde d’un air surpris puis il me sourit et me demande si je vais bien. Je me contente alors de hocher stupidement de la tête. Je me sens alors un peu coupable, de mon comportement enfantin que de ne pas avoir voulu être à côté de lui. D’un autre côté et ce malgré le fait que Kevin m’en avait parlé de son oncle en précisant qu’il n’avait que 6 ans de plus que lui, je m’étais imaginé Trévor comme étant un vieux « mon oncle » aux cheveux grisonnants, bedonnant et au visage ridé tandis que l’homme, à ma droite, n’a aucun cheveu blanc, qu’il est plutôt bien bâti et qu’il a le visage d’un homme de 26 ans sans ride et avec une barbe fraîchement taillée. Je lui rends alors un sourire me sentant rougir de la tête aux pieds comme une adolescente qui tombe face à face avec le gars le plus cool de la Polyvalente.

Trévor :

Après quelques secondes à la regarder, je me surprends à ressentir une certaine attirance pour elle, je relâche aussitôt mon emprise sur ses chevilles et je détourne mon regard pour me servir comme si j’avais eu une subite envie de manger. C’est stupide, mais après tout, elle est la copine de mon neveu. Cela me prend alors quelques minutes avant de pouvoir reprendre totalement mes esprits.

Jennifer :

Aussitôt qu’il me lâche les chevilles, pour éviter qu’il ne voie la rougeur de la timidité qui me couvre le visage, je me retourne vers Kevin qui est en pleine discussion avec sa cousine Éloïse. C’est alors que la mère de Kevin, Tania, attire mon attention en me demandant ce que je souhaite avoir dans mon plat. Puis, elle s’adresse à Trévor et nous présente l’un à l’autre et poursuit en s’adressant à Kevin pour lui rappeler qu’elle ne l’avait pas éduqué de la sorte. Puis, après m’avoir servi les plats qu’elle m’a fait choisir, elle entreprend une discussion avec moi. Nous discutons de tout et de rien, en passant par la mode, mes études, son travail, etc. Ce qui me fait oublier, en partie et pour le reste du repas, mon moment de honte dont l’oncle Trévor m’a épargné in extrémis, du moins en très grande partie.

Trévor :

Après m’être gavé comme un porc, ce qui est habituel durant ce type de repas, je me lève de table, et après avoir aidé à débarrasser la table et nettoyer la place, je vais au salon, où se trouvent bursa escort bayan les enfants, les adolescents ainsi que plusieurs adultes qui avaient terminé leur repas pour discuter avec pratiquement tout un chacun. Lorsque tout le monde est prêt, on débute, le déballement des cadeaux pour les enfants, puis pour les adolescents et enfin pour les adultes. Personnellement, j’en ai fait plusieurs sous forme d’argent liquide pour mes nièces et neveu chez qui j’ai inclus Jennifer, la copine de Kevin, pour éviter qu’elle se sente intégrée.

Jennifer :

Lorsque la conversation avec Tania prit fin, ainsi que mon assiettée, je me porte volontaire pour aider à faire la vaisselle avec grand-mère Ginette qui durant toute la durée de cette corvée, me parla de son fils Trévor m’expliquant combien il avait grand cœur. Je me suis dit qu’elle exagère probablement, mais plus tard, je fus vite convaincu qu’elle n’exagérait pas du tout. Lors du déballement des étrennes, j’entends que l’on m’appelle pour recevoir des présents. Il faut savoir que dans cette famille, la distribution se fait dans l’ordre croissant en âge. Alors que je m’approche de l’endroit désigné pour exercer cette besogne, je ressens mes larmes qui coulent de mes yeux sur mes joues. Sous le regard interrogateur de certains, je prétends que ces larmes ont été causées par de la poussière. Mais dans les faits, que je reçois un présent pour Noël et cela m’émeut beaucoup. J’ai donc reçu un pendentif en argent de Kevin, cinquante dollars de Trévor et un ensemble de maquillage de Tania et Marcel. Et je distribue les remerciements et les calins à Kevin, Tania et Marcel. Mais lorsque j’arrive à Trévor, il se lève et me prend dans ses bras en m’enserrant très fort. Ce calin est pour moi un baume sur mon coeur qui balaie, d’un coup, toutes mes larmes du revers de la main. Et enfin, je retourne m’assoir, totalement confuse, à ma place, aux côtés de Kevin dont Éloïse se trouve de l’autre côté.

Trévor :

Alors que Jennifer se rend sur la chaise d’honneur au pied du sapin, je remarque qu’elle pleure et que son excuse, de poussière dans les yeux, sonne faux. Puis, elle s’approche de moi pour me remercier. Je me lève et lui donne un gros câlin, sachant d’instinct qu’elle en avait besoin. Alors que je relâche mon étreinte, qui n’a duré que quelques secondes, elle me sourit et retourne auprès de son copain Kevin.

Jennifer :

Plus l’heure avance, moins je passe de temps avec mon petit-ami Kevin qui ne semble n’avoir d’intérêt que pour sa cousine Éloïse. Je ne suis pas de nature jalouse, mais il y a certaines limites à me faire ignorer au profit d’une autre femme. Bref, ne voulant pas faire tout un cirque en ce jour de Noël, je compte bien avoir un entretien privé avec lui lorsqu’on sera de retour en ville. D’ici là, je compte bien ne pas m’emmerder dans mon coin. Alors que les jeunes se sont fait reconduire au chalet-dortoir, le party commence pour les adultes. Papy Yvon sort sa guitare et Mamy Ginette son micro et c’est ainsi qu’est lancé le party à l’ancienne. C’est alors que je me rends compte que Kevin sa cousine Éloïse ne sont présents dans la pièce. Frustrée et déçue, j’essaie maladroitement de m’intégrer aux autres.

Trévor :

Pendant que les parents installent leurs jeunes dans le chalet-dortoir, j’en profite pour aller préparer le « Punch » alcoolisé aux fruits. Lorsque je suis de retour, mes parents ont sorti leur talent musical faisant danser leur progéniture et leur conjoint et conjointe. Je remarque donc Jennifer seule dans son coin essayant de se mêler aux autres par des commentaires d’encouragement et des félicitations aux danseurs. M’avançant vers elle je l’invite à danser, ce qu’elle accepte presque aussitôt.

Jennifer :

Alors que je suis sur le point d’abandonner, Trévor s’approche de moi et m’offre de danser avec moi, ce que j’accepte avec empressement et, malgré le fait que je ne sois pas vraiment attiré par la musique d’époque, le fait de danser sur cette musique-là rend plus agréable à écouter. Et, à mon grand étonnement, j’arrive à suivre les pas de danse du groupe sans trop de difficulté. De plus, à chaque fois que je suis en contacte avec Trévor, je deviens, émotionnellement, plus stable et plus mature.

Trévor :

Après avoir dansé sur quelques chansons, je propose à Jennifer de prendre une pause, elle me suit vers le bol de « Punch » et, après nous avoir servi chacun un verre, je m’assois sur un des sofas du salon suivi par Jennifer qui s’assoie à ma gauche. Puis, vers 1h du matin, mes parents décident d’aller au lit, ce qu’ils font sous les applaudissements des participants. C’est alors que débute le moment durant lequel on se raconte des plaisanteries et des anecdotes des plus innocentes aux plus salaces.

Jennifer :

À partir du moment duquel Trévor m’a invité à danser avec lui, je le considère comme mon partenaire de la soirée. Et tant pis si cela dérange Kevin, il n’avait qu’à me prêter un minimum d’attention. Puis après avoir félicité escort bursa les parents de Trévor, je me réinstalle à côté de Trévor qui était déjà revenu à sa place pour écouter les anecdotes et les plaisanteries de tout un chacun. Puis les uns après les autres, les parents vont se coucher jusqu’à ce qu’il ne reste que Trévor et moi.

Trévor :

Moi qui m’attendait que Jennifer allait finir par rejoindre Kevin d’un moment à l’autre, mais ce ne fut pas le cas. Ce qui ne m’attriste guère, bien au contraire. Mais d’un autre côté, je commence à me poser des questions par rapport au type de relation qu’ont Kevin et sa cousine Éloïse. Après tout, ne vont-ils pas dans la même école et n’habitent-ils pas dans des appartements se situant dans le même immeuble. Ce n’est pas comme s’ils n’avaient pas l’occasion de se voir… Tandis qu’il ne reste plus que moi et Jennifer, je lui demande ce qui se passe par rapport à elle et Kevin. À cela, elle ne semble pas non plus comprendre le comportement de son copain. Et, je lui annonce que je vais retourner chez moi et que ce fut un plaisir de faire sa connaissance.

Jennifer :

La question de Trévor, dont je n’ai pas trouvé de réponse satisfaisante, me ramène à ma réalité relationnelle. Puis, alors qu’il me dit qu’il allait se rendre chez eux, je me sens un peu triste, mais je comprends qu’il n’habite pas très loin d’ici et qu’il veuille aller se coucher dans son propre lit. Et enfin, sentant la fatigue me gagner, je décide d’aller chercher mes affaires pour mettre ma robe de nuit et faire ma toilette avant de me coucher. Alors que je me dirige vers la salle de bain, au fond du passage, j’entends du bruit en provenance de la chambre qu’Éloïse avait réservée. Pousser par la curiosité et par le fait que la porte de chambre réservée à Kevin était ouverte, j’entrouvert la porte d’où provient le bruit et je distingue, couchée sur le lit, Éloïse nue et étendue sur le dos les jambes écartées avec Jason au-dessus d’elle qui l’embrasse en faisant des mouvements d’avant en arrière avec le bas de son corps. Il me prend alors près d’une minute pour me rendre compte qu’ils sont en train de faire l’amour. D’abord hypnotisée, je suis incapable de détourner le regard de cette vision érotique. Puis, reprenant peu à peu mes esprits, je me détourne de cette scène qui fait naître des fantasmes dans mon esprit. Et enfin, je fuis l’excitation qui grandit en moi, en me dirigeant vers la porte de sortie transportant mon manteau, mes bottes, ma honte et ma colère avec moi sans me rendre compte de la présence de Trévor que je crois déjà parti.

Trévor :

Tandis que Jennifer se dirige vers le premier étage, je décide de me faire un café avant de partir chez moi, n’ayant pas l’intention de passer la nuit ici, et ce, malgré la tempête. Je sais qu’avec mon camion, je n’aurais aucun mal à m’y rendre. Alors que je déguste mon café en toute quiétude, je vois passer Jennifer en courant avec son manteau et ses bottes dans les mains. Elle se dirige vers la sortie. Je dépose donc ma tasse de café, à moitié entamée, sur une petite table de salon à proximité et je m’élance derrière la jeune femme qui sort en me fermant presque la porte au nez. J’attrape alors mon manteau et mes bottes et sors derrière elle. D’abord je ne vois rien, à cause de la tempête de neige puis, je distingue une forme humaine noire sur le font blanc de la neige, qui se dirige vers la route. Sans hésiter, je pars à sa poursuite et la rattrape en moins d’une minute. Et, avant même que j’aie le temps de dire ou de faire quoi que ce soit, elle laisse tomber ses choses et me saute dans les bras puis elle se met à pleurer sur mon épaule.

Jennifer :

Ne ressentant ni le froid ni le vent, je marche dans la neige, l’esprit embrouillé et décidé de me rendre n’importe où sauf rester ici. Après avoir marché quelques minutes dans la tempête, je sens qu’on me saisit par-derrière et me retourne sur moi-même. Et là, devant moi, se dresse Trévor. Sans réfléchir je lâche mes effets et lui saute dans les bras et j’éclate en pleure tandis qu’il me soulève et m’apporte avec lui dans son camion côté passager puis refermant la porte, il va récupérer mes affaires, il monte du côté conducteur et après m’avoir rendu mes effets, il démarrer le moteur du camion. Et c’est alors qu’il se penche vers moi.

Trévor :

À la façon dont Jennifer avait quitté le chalet, j’avais compris qu’elle avait surpris son copain Kevin et Éloïse en pleine scène romantique, voir érotique et c’est pour cette raison que je ne l’ai pas ramené dans le bâtiment, mais dans mon camion. Alors, je monte à côté d’elle, lui donne ses effets qu’elle avait laissé tomber et démarre le moteur pour le réchauffé et, du coup, réchauffer la cabine. Puis, me tournant vers elle, je lui demande si elle a besoin de quelque chose. Sachant que ce serait vraiment imbécile de lui demandez si elle va bien ou pas…

Jennifer :

Je pleure tellement que je n’arrive pas à répondre à sa question. Il m’attire alors à lui, me faisant glisser sur la banquette et m’enserre délicatement dans ses puissants bras. Son manteau n’étant pas fermé, son corps réchauffe le mien à travers nos vêtements. Après quelques minutes je prends sur moi et je réussis, non sans peine, à lui dire ce que j’ai vu.

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