Découverte de la soumission 2

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Découverte de la soumission 2La journée se passe sans problème, le soir je fais un peu de ménage, vaisselle,… Je nettoie les sanitaires, le placard de CÉLINE est toujours ouvert mais cette fois il n’y a pas de vêtements sales. Je ferme tout et rentre chez moi . Le lendemain je sent une petite différence dans le bonjour de CÉLINE, elle garde une distance toute la journée . Je passe la Journée inquiet , de plus je suis troublé par des regards plus sévère et des réflexions sèches et sanglantes de PATRICIA . Je ne comprends pas pourquoi car je fais comme d’habitude. Le soir je fais la fermeture, en entrant dans nos vestiaires je vois que le placard de CÉLINE est encore ouvert, curieux je regarde à l’intérieur, rien, il est vide. Je ferme et rentre chez moi. Le mercredi c’est une journée un peu différente car VANÉSSA finit à midi et LAETITIA à pris sa journée. Tout va pour le mieux avec CÉLINE et PATRICIA , on plaisante, on travaille dans une bonne humeur, c’est moi qui ait dû mal interprèté. La journée à été agréable, 14 heures, CÉLINE est rentrée de son footing enchanté, elle a pris sa douche comme d’habitude, puis tous les 3 nous avons bien travaillé dans une très bonne ambiance. 17 heures les filles débauchent, je range nettoie, toujours la même routine. Dans nos vestiaires, le placard de CÉLINE est encore ouvert, avant de le fermer, je jette un coup d’oeil, ses affaires de sport sont là. Je me fais v******e pour le fermer mais c’est mon corps qui parle. Ma queue est dure dans mon pantalon. Cela me fait presque mal. Je déplace délicatement le tee-shirt pour découvrir une petite culotte noire, un tanga en dentelle. Je l’a prend et la porte à mon nez, elle est encore plus odorante. Sans réfléchir je baisse mon pantalon et mon caleçon, ma bite est tendue et coule toute seule. Je décide de me mettre entièrement nu. j’ai envie de profiter pleinement de cet instant. Je me met à genoux, devant le placard. Je porte ce petit bout de tissu à mon nez, la saveur est encore plus forte, elle est encore trempe. Ces effluves m’excite, c’est un aphrodisiaque si puissant. Je suis sur que si je me caresse je jouie instantanément. Je lèche du bout de la langue , la respire, la lèche, je la lape comme un chien devant une pâtée, puis je la prends dans la bouche. Je suce, je bois chaque goûte de ce divin nectar.Je prends ma queue, dans ma main, je fais deux ou trois va et porno hikaye vient et j’éjacule dans un grand cri. Il me faut plusieurs minutes pour émerger, je suis à quatre pattes. Je réalise que des gouttes de sperme ont atterrit sur ses vêtements et ses baskets, je m’approche toujours à quatre pattes et je lèche avec application la moindre goutte qui a pu souiller les affaires de CÉLINE. Quand tout est nettoyé je me relève, je suis toujours nu. Etre à poil sur mon lieu de travail est une sensation géniale. Ça me fait bander. Je me surprend à m’imaginer devant mes collègues je suis encore plus excité. Je fais le tour de la maison et du hangar nu. En passant devant une horloge je réalise qu’il est 18 heures, ça fait presque une heure que je suis nu et je n’ai toujours pas débandé. Je reviens aux vestiaires, range tout, me rhabille et rentre chez moi. En rentrant chez moi mon Épouse me trouve bizarre, je suis toujours excité. Je lui raconte tout. Elle veut tout savoir dans les moindres détails. Elle me demande alors de comparer les saveurs, elle est toute mouillée. Son orgasme me surprend par son intensité. En quelques coups de langue elle m’inonde de son divin nectar. Une fontaine coule dans ma bouche. Ses premiers mots sont de ” recommencer mes cochonneries mon petit chien ”. Le lendemain la journée est passée très très vite, j’étais sur une autre planète, je me revoyait nu au travail. Mais la je suis entouré de toutes mes collègues pour de vrai. Je bande depuis que je je suis arrivé. C’est troublant d’avoir le désir profond de me mettre nu, cette pulsion me donne des ailles. Il faut que je trouve le moyen de remercier SÉVERINE pour le plaisir qu’elle m’avait offert sans le vouloir et sans le savoir. En même temps Je me sent coupable de connaître son parfum intime. J’ai fouillé dans ses affaires, reniflé sa culote en me donnant du plaisir. Il fallait que je me fasse pardonner, comment ? Et si je me mets à leur disposition?Je me suis rendu encore plus avenant et serviable avec toutes, bien sûr. Pendant le repas, Je me suis régalé d’être leur ” serveur ”. J’ai essayé avec chacune d’elles, d’être attentif à leurs habitudes, leurs envies, leurs désirs. C’est LAETITIA qui la première souligne mon zèle, pendant que je lui sert son thé. Me demandant se qui m’arrive ? J’ai commencé à bredouiller que je voulais juste leur faire plaisir et… PATRICIA m’a coupé sèchement seks hikayeleri argumentant que cela ressemble plus à quelqu’un qui veut se faire pardonner d’avoir fait une bêtise. Je suis resté sans mots, C’est LAETITIA qui m’a sauvé disant qu’elle trouve ça génial, que mon attitude est parfaite, elle rajoute que je dois être tout le temps comme ça. Les autres confirment avec enthousiasme seule PATRICIA rajoute qu’elle trouve ça curieux.Je m’engage alors poussé par mes désirs inavouables de devenir le collègue le plus dévoué possible. Elles m’observent toutes dans un silence troublant. Puis le repas reprend, pendant que je finis de ranger et nettoyer la cuisine, les filles parlent entre Elles comme si je n’étais pas là. j’entends VANESSA se plaindre de son corps, de ses formes. CÉLINE lui propose de venir courir avec elle pour avoir la forme, elle le propose aux autres qui sont toutes enchantées par la proposition. Elles programme donc un footing pour le lendemain. La journée se termine normalement. Avant de partir LAETITIA me complimente sur ma journée et me demande si je vais tenir ma promesse sur mon super comportement. Je réponds bien sûr devant mes 4 charmantes collègues.A leur départ je me précipite au vestiaire. Le placard de CÉLINE est ouvert mais il est vide. Un peu déçu, Je range et rentre chez moi. Mon Épouse veut savoir, je lui explique ma nouvelle attitude, résume la discussion, elle est déçu que je n’ai rien fait, mais quand je parle du footing collectifs de demain elle est enchanté. Vendredi Matin j’ai apporté des vienoiseries. Je fais Le service du petit déjeuner, elles sont toutes assise et moi je reste debout. Cette situation me fait bander. J’ai peur qu’elles s’en aperçoivent. Aucune remarque sur moi, elles lèvent leur tasses pour que les serves. Discutent de tout et de rien. Je passe de l’une à l’autre pour les servir du mieux que je peux, malheureusement en voulant débarrasser je percute la tasse de PATRICIA qui tombe. Grand silence, Je me m’excuse platement et me précipite alors pour ramasser les morceaux et nettoyer. Je suis à genoux quand je réalise qu’elles sont toutes debout et me regardent. Je garde la tête baissée, je réitère mes excuses. Elles ne disent rien, je n’ose pas me lever. LAETITIA s’approche de moi, passe sa main sur ma tête en me félicitant pour mon comportement et me remercie d’être si attentionné et dévoué. C’est erotik hikayeler avec les larmes aux que j’ose lever mon regard vers elle. Sans rien dire, Elle pointe du doigt une petit éclat à l’autre bout de la salle. Le temps à ce moment semble s’être arrêté, je sens leur regard me transpercer, je suis toujours à genoux immobile. Alors, qu’attend tu? résonne la voix de PATRICIA dans un grand silence. Je leur demande pardon encore et à quatre pattes je parcours les quelques mettres jusqu’au morceau. Je le ramasse, puis je reviens devant LAETITIA . C’est très bien finit elle par dire la main posée sur ma tête. J’ai la tête baissée, je n’ose pas bouger. Elle me caresse la tête, elle me flatte, comme un petit chien puis sans un mot elle sort de la cuisine suivit par les autres collègues. Le plus troublant est que mon érection ne m’a pas quitté, je suis conscient de m’être volontairement humilié devant mes collègues. Je n’ai aucune honte, au contraire, je ressens de la fierté, un réel plaisir d’avoir fait ça. Mais surtout, Elles ont toutes observé mon humiliation. Ma plus grande peur est qu’elles me prenne pour un pervers ou un fou. C’est envahi de toutes ses émotions que je range la cuisine et commence mon travail. Toute la matinée je sens à leurs regards, leurs attitudes leurs façons de me parler que quelque chose à changé. Midi elles prennent un léger repas se changent et partent courir. Elles portent toutes des tenues tres sexy. Je reste seul sur le site. Ma curiosité et mon excitation m’entraîne aux vestiaires. Toutes leurs affaires sont éparpillées dans la pièce, il y en a partout. Je n’ose pas toucher à quoi que se soit, même si je peux voir leur dessous posés presque en évidence. D’habitude elles rangent tout. Je ne reste pas, de peur de faire une bêtise. A leur retour, une bonne heure plus tard, je les accueille avec différentes boissons. Leurs parfums inondent la pièce. Mon érection est maximale.Elles conviennent de renouveller l’expérience et de s’y tenir au moins deux fois par semaine. Elles vont se doucher et se changer. Dans les sanitaires il y a deux douches. J’en profite pour nettoyer et ranger la cuisine,préparer les cafés. 14 heures tout le monde est au travail. Dans l’après-midi je m’absente suite à un appel de la secrétaire pour une livraison exceptionnelle. Quand je reviens il est 17h30, elles sont toutes parties. La cuisine est ma première occupation, je range et nettoie. Je garde nos sanitaires pour la fin. Quand j’ouvre la porte mon corps est saisit d’un frisson, elle ont toutes laissé leurs affaires en vrac partout dans la pièce.

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