Couple vanille ( suite )

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Couple vanille ( suite )Les jours qui suivirent furent ceux d’un affermissement de la main mise de mon épouse sur moi. Elle s’habillait de manière sensiblement plus sexy puisque les bas et portes jarretelles avaient fait leurs apparitions ,accompagné de strings qui jusqu’à lors ne faisaient pas partie de sa garde robe. Le soir elle ôtait sa jupe ,sitôt rentrée ,et déambulait ainsi vêtue sans que je n’ai le droit de la toucher. Petit à petit j’acceptais son joug . Lorsqu’au bout de quelques jours elle me sentait surexcité elle se faisait encore plus provocante avec une simple nuisette à ras de ses fesses , laissant apparaître sa poitrine qui devenait une idée fixe pour moi .Que se passe t’il mon chéri ? Un problème ?Je n’en peux plus , j’ai trop envie …Envie ? De quoi ? Interrogeait elle avec un regard perçant.De te toucher , d’embrasser tes seins , de te lécher…Mais tu as eu cette possibilité pendant des années !Oui mais tu n’étais pas la même !Viens t’asseoir à côté de moi .Je courrais m’assoir auprès d’elle sous son regard amusé. Elle baissait mon pantalon de pyjama et prenait mon sexe en main .Allez ! je t’écoute .Mon sexe en érection dur comme du bois fondait entre ses mains.Quoi, tu n’as rien à dire ? C’est la branlette qui te fait cette effet ? Décidément tu me déçois , tu es trop faible mon pauvre .Étonnamment je ne me rebellais pas , bien au contraire , je lâchais , et ses paroles avaient le don de m’exciter …elle avait raison …j’étais faible ,seule sa main qui montait et descendait comptait pour moi .Oui ! Oui ! Tu as raison , je suis un faible , mais continue ne t’arrête pas !Elle accélérait , la réponse était bonne . Alors c’est qui qui commande ? Toi mon amour ! Ma maîtresse !Bien , tu peu toucher mes seins ! Bonne réponse encore , je faisais glisser mes mains sous son décolleté et accédait enfin au nirvana , aussitôt elle accélérait ses va et vient et je me répandait sur sa main sous ses réflexions qui augmentaient ma jouissance.Branleur ! On dirait un jeunot qui crache dès qu’il touche un nichon.Je ne lui connaissait pas ce langage, mais qu’importait.Dans l’entreprise aussi elle s’affirma. Les employés qui avaient pour habitudes d’attendre mon avis avant d’obéir à ses ordres en furent pour leurs frais, dorénavant au travail aussi la patronne c’était elle. J’avais osé la contredire une fois , elle me fit attendre un mois ma branlette et avait d’ailleurs pris une décision après cet épisode …je porterai une cage de chasteté afin qu’elle soit sûre que je lui reste soumis. C’est que depuis quelques semaines elle se renseignait sur internet afin d’augmenter son emprise sur moi . Bien entendu j’avais résisté , mais elle m’avait promis une « gâterie royale » si j’acceptais. Une semaine plus tard j’étais sous cage. Je me souviens encore de sa satisfaction ce jour là.Maintenant tu es foutu ! Tu vas rampé ! Mais tu aime ça , non ?Décidemment je ne la reconnaissait pas ,et moi non plus d’ailleurs. En quelques güvenilir bahis semaines elle avait pris le pouvoir dans ma vie …et j’aimais ça. Bander et assouvir mes sens exacerbés tel était l’essentiel dans ma vie après mes 50 ans.Tu feras ce que tu voudras , je me moque d’être foutu , tu as raison dresse moi !Ah ben voilà ! Tu vois que c’est pour ton bien ! Tu verras tu pourras plus t’en passer devra cage ! Allez viens lécher ta maîtresse ! Ça m’excite de faire de toi un roi de la branlette , monsieur l’expression macho ! Je me précipitais vers le fauteuil où elle avait déjà avancé son bassin . Ma langue titillant ses lèvres et son clitoris , son sexe était glabre , encore une nouveauté, je me régalais à introduire ma langue dans ce sexe que je n’avais plus pénétré depuis plusieurs mois , son odeur, sa texture m’enivrait. Et mon sexe voulant sa part essaya de se déployer , il en fut vite dissuadé , l’anneau de ma cage m’arrachait littéralement les testicules. Ma maîtresse observait mon sexe , et elle sourit.Tu vois , tu t’occupes de moi et rien que de moi , dorénavant seule ta langue me touchera.J’eus l’impression que ma langue devenait folle , elle était devenu l’avatar de mon sexe. Elle me tenait la tête avec ses deux mains et me guidait. Je compris lorsqu’elle se retourna qu’il me fallait caresser son passage interdit , ce que je fis avec délectation , ma langue allait de sa vulve à son anus , tantôt en pointe, tantôt à plat , elle hurla son plaisir et s’affala.Tu vois , tu es fait pour ça , un bon chien chien à sa maîtresse. Les choses durèrent ainsi encore quelques mois elle me dressait et j’acceptais.Son dernier jeu était de m’attacher au lit d’allumer la télévision dans la chambre. Notre maison avait des caméras de surveillance que l’on pouvait observer de n’importe quel poste.Le weekend end je restais des heures ainsi , elle s’habillait de manière très provocante et posait régulièrement devant la caméra du salon , parfois prise au jeu elle se caressait tout en fixant l’œil indiscret. Mon excitation grimpait , mes testicules me calmaient , et ma maîtresse apparaissaient dans ma chambre. Elle s’approchait , prenait ma cage dans sa main et de l’autre caressait les bouts de chaires , puis elle descendait et soupesait mes couilles , puis caressait mon scrotum et posait le doigt sur mon anus , puis elle repartait. Après plusieurs aller retours elle me savait mûre pour un échange de bon procédé, comme elle disait.Alors , on a les couilles bien pleines ? Ça fait combien de temps ?Trois semaines maîtresse !Oh déjà ! J’ai pas vu le temps passer , c’est vrai que pour moi c’est quand je veux !Oui maîtresse , je suis votre chien lécheur ! Tu l’as dit ! Un bon lécheur ! Alors ? Une envie ?Oh oui maîtresse ! Une branlette , s’il vous plaît maîtresse ! Rien que ça ? Et que me donne tu en échange ?Elle avait sorti la clé, et montait la cage , après un instant mon sexe était en érection.Ce que vous voudrez maîtresse türkçe bahis ! Mais par pitié , une branlette ! Elle avait posé sa main sur mon sexe , mais ne la bougeait pas , j’en frémissait et perdais toute notion raisonnable .Ce que je veux ? Je ne sais pas ? Proposé , on verra !Sa main avait glissé entre mes fesses et un doigt titillait ma rosette , avec le temps j’avais appris à raffoler de cette caresse.Je ne sais pas , mes actions de l’entreprise ?Son doigt s’était enfoncé légèrement , de son autre main elle me branlait lentement Tu ferais ça ? Pour une branlette ? T’as vraiment plus aucune volonté !Oh oui c’est bon ! Encore maîtresse ! 2% , oh oui , 2% de mes parts !Elle arrêta tout.5 % et je te fais cracher ! Ruben as envie non ?Oui , j’ai trop envie ! 5 % , mais continue !Elle m’enfonça le doigt et me branla , j’étais pris , je hurlai .C’est ainsi que quelques mois plus tard elle devint la seule propriétaire de l’entreprise.Deux ans plus tard je n’avais plus rien , ou plutôt si , une branlette mensuel J’avais 53 ans elle 43 et était moi aussi sa propriété. Elle décida que dorénavant ma présence dans l’entreprise n’était plus souhaité , et je restais donc à la maison faisant le ménage ainsi que la cuisine.Trois mois plus tard elle m’annonça que la boîte allait répondre à un appel d’offre de la mairie .Tu sais bien que l’on ne l’aura pas , c’est Simon qui choisit !Oui je sais, que tu as martyrisé ce Simon à l’école, mais je veux essayer maintenant que tu n’es plus là.Simon, petit gros déjà jeune avait souffert de mes blagues journalières et m’en tenait rancœur trente ans plus tard .Un soir elle rentra et m’annonça que Simon allait venir dîner vendredi soir.Mais tu sais bien qu’il sera mal à l’aise en ma présence !Justement ! Toi tu seras dans la chambre , attaché , et tu prendras une leçon de négociation ! Compris ? Tu vas voire comment on manipule un homme .Oui maîtresse , j’aurai une branlette ?Si tout se passe bien on verra , ça fait combien de temps ?Cinq semaines .Oui peut être ! On verra .Le vendredi à 17h00 elle rentra me fit monter à la chambre , l’attacha , alluma la télé et s’en alla prendre son bain.Je contemplais l’écran attendant qu’elle réapparaisse. Une heure plus tard elle se montra enfin. Magnifique , jupe un peu trop courte à mon goût, chemisier presque transparent , talon aiguille vertigineux qui donnait à son cul un galbe affolant, Simon allait en prendre plein la vue.Vers 19 h00 , Simon arriva , il me parut encore plus petit et gros qu’autrefois .Ma maîtresse l’avait installé sur le canapé et servait l’apéritif . Sur l’écran je voyais que la tête de Simon suivait les aller venus de son hôte . Je l’imaginais subjugué par cette beauté. Mais votre époux n’est pas là ?Non , il a eut une urgence , il était désolé !Moi aussi je le suis ! Deux hypocrites pensais je.Non ne le soyez pas, voyez vous il a pris du recul , et n’est même plus dans l’entreprise.Ah bon j’ignorais !Oui c’est avec moi güvenilir bahis siteleri que se font les négociations.Bien bien…et que me proposez vous ?Hé bien tout d’abord faisons connaissance et buvons il sera toujours temps.Simon c’était levé et s’approchait de ma maîtresse , il l’a pris par les hanches .Mais que faites vous ?C’est toi que je veux , baiser la femme de ce connard chez lui, le rêve !Elle se débâtait , mais lui l’entraînait vers le fauteuil.Écoutez, cela suffit ! Nous ne ferons pas affaire , sortez !Tout en l’aggripant il s’affala sur le fauteuil , la renversa sur ces genoux , souleva sa jupe et commença à lui administrer une fessée. J’entendais les claquements sur les fesses, et mon épouse crier. Puis sous ses adjonctions elle se tut , ses fesses était bien rouge.C’est bon , tu vas obéir petite salope ! Ou je continue ?Oui…oui …arrêtez …j’obéirai.Bien , écartés !De mon lit je vis ma maîtresse écartée les jambes , toujours en travers de ses genoux. Il écarta la ficelle d’un string et plongea sa main entre ses cuisses.Mais tu es trempée salope ? Regarde ça , deux doigts et ça glisse , tu aimes ça hein ma salope ?Je voyais sa main branler le sexe dont il avait pris possession. J’entendais haleter mon épouse.Un vrai régal ta chatte ! T’inquiètes tu va prendre cher !Il l’a poussa sur le tapis et défit son pantalon, puis sorti une verge monstrueuse.Je me croyais dans un film x .Allez , viens sucer !Sur l’écran je vis ma maîtresse , la jupe à moitié remontée , laissant voire une partie de ses fesses , ses bas et son porte jarretelles , se diriger à quatre pattes vers son vainqueur et se mettre à le sucer.Voilà ! C’est bien , suce ma belle , tu verras tu vas vite y être accroc !Ho , qu’elle est grosse …c’est pas vrai …c’est pas vrai !Et quand tu vas la prendre dans la chatte tu vas bien te sentir ramonée , plus profond , allez !Tu veux une autre fessée ?Non ! Non ! Mais elle est trop grosse ! Il la releva lui mis les bras sur les accoudoir , les genoux sur le fauteuil et commença à la prendre.Elle râlait déjà alors qu’il n’avait pas encore tout mis.Oh ! Oh ! Que c’est bon ! Oh oui mon salaud !Lui allait et venait de plus en plus vite , il l’a défonçait .Elle hurlait , jamais je ne l’avais vu dans cet état .Hum , elle est bonne ta chatte , bien serrée , elle te plaît ma bite ?Oui ! Oui ! Elle me rends folle ! Encore ! Encore ! Ouuuuiiiiiiii ! Il l’avait fait jouir , mais lui continuait , il lui mettait de grandes claques sur les fesses et elle semblait apprécier cela maintenant.Oh ! Qu’elle est grosse ! Comment que tu me mets ! Ho ouiiiii ! Elle venait de réjouir, il l’a retourna et c’est naturellement qu’elle se mis à genoux pour le sucer à nouveau , mais bien plus langoureusement . Il lui tenait la tête et lui imprimait le rythme.Oui , c’est ça salope , suce , oui comme ça ! Suce bien ! Ooooohhh !Il venait de se vider dans sa bouche ce qu’elle m’avait toujours refusé, mieux ,elle lui tolétait le sexe avec la bouche .C’est bien , tu es une bonne chienne ! Suces ton maître !En effet ce petit homme gros et a l’apparence insignifiante venait de soumettre ma maîtresse., J’avais assisté de mon lit à toute la scène et ma cage était bien remplie .

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