Edith….Une vie de frustration (suite 3)

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Edith….Une vie de frustration (suite 3)                       Remontés des caves, Edith pris en bain, je mettais mis nu et préparais un apéro dinatoire.Edith m’appela, j’entrais dans la salle de bain, tu as eu raison de te mettre à ton aise me dit-elle et elle m’invita à la rejoindre dans la baignoire, je la remerciais pour son invitation mais la déclina, les baignoires n’étant pas assez grandes à cause de ma taille pour moi seul à deux nous ne pourrions y tenir, elle se leva, une douche posera moins de problème fit-elle, j’entrais dans la baignoire aussitôt elle se blottie contre moi.Sa peau mouillée m’apporta un peu de fraicheur salvatrice mais me rappela que depuis mon arrivée j’avais une envie pressante non assouvie, toujours serrée contre moi, nos bouches soudées, nos langues dansant la farandoles, je me soulageais contre elle, elle ne sentit pas ma pisse chaude sur sa peau immédiatement, d’un coup elle réalisa, se recula un peu et regarda ma pisse sortir de ma queue, toucher son ventre et couler le long de sa jambe, elle me regarda et me dit que cela ne faisait pas partie de ses fantasmes, que ce n’était pas désagréable, elle pris mon membre dans une main, arrosa son ventre et dirigea le jet sur sa chatte, nuls doutes qu’elle ressentait de l’excitation, ses tétons dressés et durs en étaient la preuve. Pendant que nous nous trouvions sous le jet de la douche elle me confia que sur la plage il lui arrivait d’uriner dans son maillot de bain et qu’elle y prenait plaisir, elle répondit à ma question “non mon époux ne sait rien de cela”.Il était déjà tard, quand dans le lit, je la questionnais sur la journée à venir, on repoussa ce fantasme qui était de faire les courses nue sous un imper ou manteau, nous étions en juillet et la pluie n’était pas annoncée, j’émis donc l’idée de réaliser celui dans lequel elle se voyait habillée en fille de joie attendant le client, car, vu le temps annoncé il ferait bon se promener en forêt en petite tenue, restait à choisir la tenue.Elle fît très vite l’inventaire dans sa tête ne vit rien de très sexy hormis la tenue portée dans les caves, tenue d’ailleurs que son mari n’autorisait à porter qu’à la maison, nous convenions de la même organisation, un coup de téléphone pour la prévenir de mon arrivée, elle m’attendrait dans le hall de son immeuble en jupette en jeans, gilet sans manche en jeans, avec des sabots, plus pratiques sur des terrains accidentés que les escarpins.Arrivé dans le hall elle était là, maquillée plus que d’habitude, en tenue, le gilet n’était pas entièrement fermé, laissant voir la naissance des seins, elle avait poussé le détail à prendre un petit sac à main à bretelle, elle me souriait, elle était très belle, sexy à souhait.Nous étions en voiture, tout juste sortis de sa résidence qu’elle retira sa ceinture de sécurité, fit sauter les dernières pressions du gilet et écarta les pans du gilet de chaque côtés de sa poitrine, elle se pencha vers moi me fit un baiser et dit “Emmène moi vers une autre aventure mon chéri”, n’importe quels quidams sur le trottoir si nous étions à un feu tricolore aurait pu voir sa jambe Escort dénudée ainsi que la fesse et en s’approchant il aurait même pu voir que cette belle femme mûre ne portait pas de culotte.La voiture stationnée j’en fit le tour pour galamment ouvrir la portière à ma belle, elle sortit à la manière d’Annie, d’abord la jambes droite pour bien montrer son entre jambe puis la gauche, elle me tendit sa main pour l’aider à se lever “Merci mon chéri”. La connaissant cette façon de faire n’était pas naturelle chez elle, elle avait, dû y penser une partie de la journée, la mettre en scène et la jouer sur une chaise devant la glace de la penderie dans sa chambre.Marchant bras dessus bras dessous, nous marchions sur une allée cavalière, Edith n’avait pas remit de l’ordre à sa tenue, ses magnifiques mamelles étaient à l’air, libres, sauf quand nous croissions une famille composée d’enfants, elle rabattait les pans sur sa poitrine.On quitta cette large voie forestière pour emprunter un chemin beaucoup moins large et moins fréquenté par les famille, des personnes seules ou en couples nous en croisions promenant leur chien.L’endroit me parut propice, je la laissais près d’un gros chêne, je m’éloignais d’une centaine de mètres et m’assis sur une souche contemplant la scène. Je la voyais marcher quelques pas, faire des allers retours, s’adosser contre l’arbre, une jambe pliée le pied posé contre le tronc, elle prenait d’instinct les mêmes attitudes des putes que j’avais vu  Rue St Denis ou  Rue Blondel à Paris mais sans doute que les prostituées du Bois de Boulogne ou que toutes les putains du monde avaient toutes en commun cette position.Certaines personnes passaient sans la regarder, le regard d’autres se posait sur elle, de  la tête aux pieds revenait sur son visage et continuant leur marche partait en haussant des épaules. Moi je bandais tant que mon sexe me faisait mal dans mon jeans, il fallait que je le libère et que je la prenne, mon ex belle-mèreJe vis arrivé un homme seul promenant son chien, je décidais de mettre un peu piment, je rejoignais Edith, l’homme approchait, je proposais à ma belle une cigarette, elle la prit la mit en bouche et quand l’homme fut à notre niveau il pu m’entendre discuter du tarif ” Non, 50 francs la pipe et 100 la totale, je suis sur d’être ton premier client, ça te portera chance”, l’homme sans se retourner dodelina de la tête et je dis à Edith, “Lui il t’a vraiment prise pour une pute”.Quittant le sentier pour un terrain encore plus accidenté, Edith se mit en position contre un charme, les bras tendus, mains sur le tronc, jambes écartées, d’une main je vérifiais l’état d’excitation de ma belle, sa chatte était ouverte et suintait et pas qu’un peu, sa coulait le long d’une jambe, je lui claquais une fesse et lui dit ” Cambre toi plus salope”, se qu’elle fit et je la pénétrais sans grande douceur, elle émit un petit bruit de satisfaction.”Tu as aimé faire le tapin et passer pour une pute” demandais je à Edith, elle me répondit que oui, que cela avait été plus excitant que dans son fantasme et elle ajouta “Je te sens bien en moi, c’est Escort Bayan bon”, petite piqure de rappel, elle corrigea ” Je sens bien ta bite dans ma chatte, j’aime sentir ta queue en moi, c’est bon”, je redoublais de puissance, la respiration d’Edith s’accéléra, elle était aux portes de la jouissance quand j’entendis une voix derrière moi, jeans sur les cheville, il n’avait devant ses yeux que mon cul poilu ” C’est pas honteux de voir cela, vous pouvez pas faire cela chez vous” l’homme était à côté de mon ex belle-mère, il pouvait voir ses jambes, une fesse, sa jupe sur les reins, les mamelles qui balançaient au rythme de mes assauts et Edith qui entamait sa montée au septième ciel, le regardant je lui répondais que je ne pouvais quand même pas amener une pute chez mes parents, je sortis ma queue du sexe féminin et ajouta ” Vous voulez l’essayer, elle est vraiment bonne”, il tourna des talons en vociférant et menaçant de prévenir les gendarmes, Edith n’avait pas bouger, peut-être un peu plus baisser la tête, elle réclama ” Baise moi encore j’ai pas jouie comme il faut “, ce que je fis sans me faire prier, excitée par la situation, par mes puissants va et viens du bassin, Edith, la pute non vénale cria sa jouissance pendant que je me répandais en elle.Elle m’embrassa, me remercia pour ce moment si excitant, se pencha sur mon sexe sortit de sa cachette et le pris en bouche pour une délicate toilette.Elle s’arrêta et susurra “Je sens ton sperme qui coule ” mets deux doigts dans ta chatte et récupère le dans ta main, elle s’exécuta puis me regarda et sans attende un ordre, elle aspira le foutre dans le creux de sa main, la lécha, inséra les deux doigts dans sa bouche aspira le nectar puis lécha les doigts.Elle me regarda me dit qu’elle avait eu une envie soudaine, qu’elle faisait bien la même chose aux concombres, courgettes, carottes quand elle porte en bouche ces végétaux trempés de sa mouille.Je pensais en moi même ” Mais pourquoi Julie ne te ressemble pas “.Le retour à la voiture se fit comme à l’aller, bras dessus, bras dessous et poitrine à l’air libre.Elle s’installa de façon inverse, d’abord rentrer la jambe gauche, bien montrer sa chatte qui suintait encore puis la jambe droite, la ceinture entre les mamelles, en route pour la maison.Je conduisais mais caressais ses seins, son ventre, sa chatte, ses jambes, elle avait posé ses pieds sur le tableau de bord, je sentis dans mon jeans une réaction physique, Edith appréciait les caresses, je décidais donc de quitter l’autoroute pour prendre les routes de campagne, j’avais une idée en tête, la réalisation d’un autre de ses fantasmes, faire l’amour dans une voiture. Edith me regardait interrogative, je restais muet.J’arrêtais la voiture en bordure d’un champs de betteraves sur un chemin emprunté que par les tracteurs, je demandais à Edith  de passer à l’arrière et de s’allonger sur la banquette, le cul au bord de celle-ci.A genoux sur le sol sec, je m’apprêtais à descendre à la cave déguster ce fruit mur qui donnait tant de jus.Edith relevait ses jambes instinctivement et lui demandait d’écarter Bayan Escort sa chatte.Pas un centimètre de sa moule n’échappa à ma langue, je fis durer le plaisir et Edith pu crier sa jouissance à sa guise et à de multiples reprises, je lui intimais l’ordre de me sucer, ce qu’elle fit, mon sexe bien baveux, je la fit s’allonger sur le capot, je lui  demandais si elle voulait que je la prenne comme une pute elle me répondit par l’affirmative, je lui ordonnais  jambes, d’ouvrir son cul , ce qu’elle fit et je pénétrais comme un sauvage dans sa chatte trempée de mouille. Au bout de quelques minutes de puissants coups de reins, je pris Edith par la main et la fit mettre en appuie contre les montants de la voiture et de nouveau, une claque sur son cul, elle se cambra, je la pénétrais, la besognais, elle criait que c’était bon, jouissait.Nouveau changement de position, j’ouvrais la portière passager et la fit mettre à genoux et la prévint que j’allais la sodomiser, ” Vas y doucement aucun sexe n’y est jamais rentré, que des carottes et encore pas trop grosse “, la belle était vraiment prête à toutes nouvelles expériences.Après une minutieuse préparation, j’entrais dans son antre, je sus qu’elle avait fait un lavement le matin même, avait elle eu en tête déjà cette éventualité, bien sur que oui.Elle criait de plaisir, mon membre entré entier jusqu’aux couilles dans son cul, faisait son œuvre, elle beuglait de plaisir et en réclamait encore, aider par une main glissée sous son ventre pour atteindre son sexe.Trois doigts dans sa moule s’agitaient, me caressaient la queue, un clapotis grandissant se fit entendre, Edith me suppliais d’arrêter, qu’elle n’en pouvait plu, je sortis ma queue de son cul, remplacée par deux doigts de l’autre main mais pas les doigts de chatte béante, soudainement elle émit un hurlement et ce fut des jets de mouille qui jaillirent, trempèrent mon jeans. Une femme fontaine, ma première.Edith avachit, refit surface petit à petit me questionna “Mais que c’est-il passé, je me suis oubliée, j’ai fait pipi sur toi ” me dit-elle, je la rassurais et lui expliquais, elle me dit que des copines d’école en Espagne lui avaient expliqué ce phénomène mais qu’elle ne savait qu’elle était une femme fontaine. Une grande découverte qui allait changé son autosatisfaction.Elle s’inquiétait pour moi ” Tu n’as pas jouie toi “, elle s’assit sur le bord de la caisse et pris ma queue molle en bouche qui ne tarda pas à s’ériger; ” As tu déjà vu un homme se branler ” lui demandais-je, elle me répondit que non, alors ouvre tes yeux ma belle, je vais mettre du  maquillant.J’empoignais ma queue et après une bonne branlette le foutre jaillit, deux jets sur son visage, du nez jusqu’aux cheveux, du foutre sur et autour des lèvres et le reste de sperme dans sa bouche ouverte, sur sa langue, elle avala sans rechigner, sans grimaces.Je lui ordonnais de ne pas essuyer son visage, qu’elle rentrerait ainsi maquillée.Au cours du voyage sa langue ramassa le foutre qui glissait du front, du nez vers sa bouche.Quelle soirée me dit-elle, ” Je m’habille en pute, je tapine, deux types me prennent pour une professionnelle, tu me baise devant un, dans la nature et dans la voiture, que de souvenirs, merci beaucoup Phil “Arrivés, la douche fut commune, j’urinais de nouveau contre elle, elle urinait pour la première fois devant quelqu’un.

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