Le Mauvais Chemin 06

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Igor avait chuchoté à Moussa, ainsi qu’à l’autre gars, le fameux toubib, qui avait fait ses cours avec Valérie, au début du chapitre 1. Mais lui avait réussit ses examens.

– Mais regardez la tête d’abruti qu’elle a cette conne!!!! Elle ne voit plus rien, elle ne ressent plus rien, elle est complètement dans les vapes!!!! Je veux pas qu’elle reste comme ça, inconsciente remettez la en forme je veux qu’elle réalise et se rende compte pour la suite!!!!!!!

Tous les trois avaient rigolé et plaisanté :

– C’est vrai qu’il y sont allés un peu fort cette bande de cons.C’est des sauvages ces jeunes quand ils sont déchaînés!!!!!!

Le mec qui était avec Igor et Moussa avait pris une seringue dans sa sacoche. II s’était approché de la femelle, il l’avait piquée dans le bras en rigolant, en lui disant :

– Tu va voir beauté, avec ça tu vas retrouver de la force, tu va reprendre conscience. Tu verras, tes sensations seront beaucoup plus fortes. Surtout la douleur.

Nathalie ne lui avait pas répondu. Elle n’en avait pas la force. Elle le regardait d’un air hébété et étonné lui faire la piqûre. Mais sans pour cela quelle réagisse pour autant.

Pourtant peu à peu, la belle bourgeoise, la jolie quinquagénaire avait retrouvé un semblant d’énergie, de conscience.

Elle sortait lentement de son état léthargique, elle semblait retrouver un peu de vitalité, de dynamisme.

Ils avaient attendu une bonne demi-heure, tout en s’amusant avec Stéphanie pendant ce temps, la pelotant, tordants ses seins, lui donnant une cuisante fessée, qui lui mit le cul rouge.

Quand ils avaient vu et jugé que Nathalie était enfin revenu complètement à elle, Igor avait déclaré :

– Allez les mecs finissez moi cette pétasse avant qu’on passe à autre chose!!!!!!

Avec horreur, mais surtout terreur, la femelle avait vu s’approcher Moussa et un autre black, tout aussi bien monté que lui.

Leurs sexes étaient durs, bien dressés, droits, prêt à encore baiser.

Moussa, par pure méchanceté, gratuitement, lui avait donné un coup de pied dans les seins, dans les flancs

– Tu vas obéir sale chienne, sinon je te massacre à coups de pieds, compris?

– Oui! avait elle faiblement répondue

Alors Moussa s’était allonge à coté d’elle. Il l’avait attrapé, mais sans qu’il n’est besoin de parler, la femelle maintes fois violée, s’était redressée. Avec difficulté vu la douleur de ses membres, elle avait été forcée d’enjamber le corps de son bourreau.

Lentement, forcée par Moussa elle s’était empalée dessus a fond, en jappant de douleur. Elle bramait, elle criait, elle hurlait.

Une fois complètement rentré dans le vagin violé, Moussa l’avait regardé dans les yeux en lui disant bursa escort :

– Maintenant tu vas te courber sur moi connasse!!!!. Si tu te débat, je te casse en deux!!!!

Elle n’avait pas eu le choix. Moussa l’avait attrapée.

Une fois de plus elle avait plaqué ses seins volumineux sur le torse de son violeur. Aussitôt, les bras puissants de Moussa l’avait plaquée contre lui.

Nathalie avait compris. Elle était persuadée que le second allait la prendre en doublette. Comme des dizaines de fois depuis qu’elle est ici.

Mais quand elle avait senti le gland du second black se positionner contre son vagin, Nathalie avait hurlée ne pouvant se retenir de se débattre.

Heureusement son sexe était béant, bien lubrifié, bien huilé avec ce qu’elle avait pris. Remplie comme elle l’avait été.

Le gros gland était rentré quand même en forçant.

Le black, sadiquement, était rentré en elle en deux coups de reins puissants.

Inutile de détailler le massacre que subissait la chatte de la femme.

Les hurlements qu’elle poussait en témoignaient, le prouvaient.

Sous la douleur subie la femme avait fait une ruade d’une force incroyable. Tellement forte et imprévisible, que les bras de Moussa l’avaient lâchée en un instant de surprise.

La femelle avait réussie même à surélever, à déséquilibrer son second tourmenteur.

Mais rapidement les deux hommes s’étaient mis alors à la pilonner en cadence. Méchamment, longuement, puissamment.

Un viol terrible qui avait duré longtemps, très longtemps, les deux monstres se retenant de jouir en elle. De plus ils s’étaient déjà vidé au moins deux fois chacun.

En voyant cela, les autres voyous n’avaient plus qu’une idée en tête, lui faire subir la même chose.

Une fois que Moussa et son pote l’ait encore remplie, ils avaient pris la place laissée libre.

Après une trentaine de doublettes vaginale, Nathalie était toujours complètement consciente. Elle le regrettait amèrement, tant la violence, la douleur occasionnée par ses bourreaux était incommensurable, démesurée.

Pendant ce temps Igor donnait des directives à plusieurs rebeu. Si elle avait pu voir elle aurait aussi vu qu’il leur donnait quelques choses que les mecs avalaient en riant.

Une fois que les deux qui la violaient en même temps, dans la chatte aient éjaculés, la femelle avait été relevée. Ont l’avait menottée, mains dans le dos. Elle se demandait “pourquoi??”. Mais elle n’avait plus la force de se débattre. On l’avait faite redescendre sur le membre d’un des maghrébins. Elle avait été empalée tournant dos au visage de son violeur. Il était de belle taille, belle bite, gosse, longue, veineuse et circoncise. Mais après görükle escort tout ce qu’elle avait déjà subit, une nouvelle simple sodomie ne lui faisait pas bien mal, du moins le pensait elle. Enfin pas physiquement, son cul est trop ouvert pour ça.

Deux maghrébins avaient saisis chacun une jambe de la femme. Ils les lui relèvent très haut, les écartant au maximum de leurs possibilité. Nathalie avait senti un petit craquement au niveau de ses tendons qui étaient tendus, contractés à fond.

Elle avait senti son enculeur glisser légèrement, pour prendre une position bizarre. Il était couché sur le dos, les jambes et les genoux légèrement pliés, comme si il voulait se transformer en fauteuil humain.

Igor mis des coussins et des couvertures sous les jambes du violeur, pour lui faire garder la position, pour qu’elle soit bien confortable. Quand un jeune asiatique d’une vingtaine d’années, tout petit et fluet, mais avec un sexe très long, très large, s’était approché.

La bourge avait pensée qu’elle allait encore subir une double pénétration mais dans une position un peu bizarre.

Elle en était presque soulagée, de subir de nouveaux des viols normaux. Enfin soulagée, façon de parler.

Le nouveau lui faisait face, la regardant droit dans les yeux, il s’était assis devant elle. Nathalie savait qu’elle ne devait pas baisser les yeux ou détourner le regard, sous peine de nouveaux coups ou de nouvelles tortures. Étrangement, étonnamment elle avait encore toute sa lucidité, toute sa volonté. Cela était dut aux effets de la piqûre.

“Surtout ne pas les énerver, juste subir en serrant les dents” pensait elle.

Le mec s’était assis sur les jambes du violeur qui enculait déjà la malheureuse. Quand il avait posé son gland contre son anus déjà occupé, Nathalie avait compris et réalisée avec horreur, ce qui allait se passer.

Alors comme pour sa première doublette vaginale, elle s’était mise à hurler, à ruer afin d’éviter cette horreur.

Mais ils étaient trop forts pour elle. Son corps ne bougeait pas, il ne réagissait plus. L’asiatique avait passé son gland sur le sperme qui s’écoulait abondamment de la chatte de la femme, pour se lubrifier.

Puis il avait commencé à forcer. Le sphincter déjà énormément sollicité et forcé, était suffisamment ouvert pour laisser passer, rentrer en elle le bout du gland de l’asiatique.

Mais le conduit anal déjà occupé par la grosse bite du maghrébin était si exigu, si serré qu’il avait du forcer comme un fou, comme un malade pour pouvoir rentrer complètement en elle.

Il la faisait hurler de plus en plus fort. Il progressait centimètres par centimètres, en lui explosant le cul, en la faisant saigner. Il avait bursa escort bayan mis vingt bonnes minutes pour rentrer enfin complètement en elle. Mais il y était enfin parvenu.

Le docteur avait été obligé de la piquer de nouveau, pour aider le cœur à tenir, qu’elle ne perde pas connaissance.

Elle ne cessait de hurler depuis le début de cette effroyable pénétration.

Pourtant quand les deux pieux qui la massacrait, s’étaient mis à bouger en cadence en elle, l’enfer s’était abattu sur la malheureuse femme. Ils la défonçaient comme des fous, élargissant sans pitié son petit trou. Ils lui ouvraient encore plus son anus, pourtant déjà bien dilaté. Le fourreau était tellement étroit, que cela en était même presque douloureux pour les deux violeurs.

Mais ils le savouraient, ils l’appréciaient quand même ce monstrueux double viol sodomite. Après avoir enfin éjaculés, tout les deux ensemble, dans son rectum, mais avoir bien pris leur temps pour la défoncer, deux nouvelles bites s’étaient enfoncées en même temps dans son trou du cul.

Heureusement qu’elle était bien ouverte, bien lubrifiée par tous les spermes précédents, sinon ils l’auraient tuée de leurs énormes mandrins.

L’anus de la femelle palpitait, vibrait comme un fou contre les deux bites violatrices, se défendant vainement. Ils lui avaient massacré, saccagé son rectum, ses intestins.

Les deux avaient eux aussi jouis rapidement, tant il était dur de se retenir dans un cul aussi exiguë, si serré, si accueillant.

Les voyous s’étaient succédé en elle, les uns après les autres, sans fin, se montrant tous plus méchants, plus sadiques les uns que les autres.

Pendant plusieurs heures, la femme n’avait été plus qu’un trou du cul, si agréable à prendre, à défoncer.

Devant ce spectacle si excitant, certains rebandaient de nouveau, ils repartaient à l’assaut.

Quand enfin ils n’en pouvaient plus, d’autres arrivaient, ils prenaient la suite.

Et ça repartait de plus belle. Ils la violaient comme des malades, comme des fous.

A deux dans la chatte ou dans le cul. Un dans la bouche, un dans chaque mains.

Ils prenaient tous plaisir à se vider en elle, à l’inonder, à la défoncer.

Puis au bout de la nuit, ils avaient enfin abandonné ce corps dont ils s’étaient servis si méchamment.

Nathalie avait enfin sombré dans l’inconscience.

Igor se dirigea vers Stéphanie . Plusieurs voyous avait remplacé Moussa, occupé avec la Nathalie. Stéphanie pleurait comme une madeleine devant le spectacle offert par sa chère maman. Elle avait dut branler les gars excités par la vue de cette sodomie barbare. Cette dernière avait du sperme plein la main, elle était occupée à le lécher.

– J’espère que le spectacle t’as plut.

Stéphanie ne répondit pas au caïd, anéantie par le spectacle offert, elle ne savait pas si sa mère était simplement évanouit ou bien morte. Mais Igor, debout devant elle, la terrorisée tant, qu’elle reporta son attention sur lui.

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