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première expérience candauliste @pierredelunematurPEn déplacement professionnel à Strasbourg un ami de longue date avec lequel nous avions depuis longtemps une réelle complicité et que nous savions particulièrement attiré par Bénédicte avec qui je suis marié très bourgeoisement me contacte par mail et nous propose de nous revoir le lendemain soir. Bénédicte le sourire malicieux me suggère alors de le rappeler puis, après l’avoir salué et lui avoir dit que nous serions heureux de le revoir elle me demande de lui parler directement. Elle reste longuement au téléphone l’écoutant avec attention ponctuant les silences par des sourires et des compliments : “parfait cela nous va bien, je suis ravie que nous puissions nous revoir dans ces conditions Humm, tu es adorable, oui j’ai envie, excellente idée, tu as raison, je te donne mon numéro de téléphone; tu notes? j’ai hâte de te revoir demain soir.. Oui, bien sûr, Merci, tu es adorable je t’embrasse.” Elle raccroche sourire aux lèvres, sa tunique de soie frémissante marque délicieusement ses seins qui pointent d’excitation puis se retourne doucement vers moi resté au seuil de la porte de notre chambre : ” mon amour, il a très envie de moi, j’aimerai qu’il soit mon amant et nous avons convenu de continuer à communiquer ensemble sans passer par toi, je souhaite qu’il soit complétement l’aise et que je puisse faire ce qui me plaît au moment où j’en ai envie?!” Bénédicte parait décidée et rayonnante : j’aime ça?! Elle poursuit en s’allongeant au salon?: “tu voulais que je trouve un amant mon chéri?! C’est déjà notre ami, tu l’estimes beaucoup pour sa délicatesse, son élégance et sa finesse d’esprit, je sais que tu l’aimes bien, il sera un amant parfait et je crois deviner que tu vas pouvoir être fier de moi à partir de demain soir”. Dans son for intérieur Bénédicte est baignée de désirs à passer du bon temps avec notre ami et pourquoi pas de passer la nuit prochaine en tête à tête avec lui. Elle sait bien que j’adhère entièrement à cette aventure amoureuse et que mon accord lui est acquis pour son bon plaisir. Pour cette «?première fois?», elle souhaite à sa manière, m’associer à ce plaisir. Son idée : un dîner à trois, une belle table strasbourgeoise, de bons vins pour régaler nos papilles et éveiller tous les sens. Ce dîner initial, prélude aux plaisirs et à la jouissance est destiné dans son esprit éclairé et attentionné à me faire prendre la bonne mesure de cette nouvelle aventure libertine, de bien ancrer en moi ce nouvel espace de liberté qu’elle s’accorde à présent à l’occasion d’une rencontre excitante et exceptionnelle. Enfin c’est aussi pour elle l’occasion de me mettre à l’épreuve de mon amour, de me faire languir d’envies et d’affirmer encore sa personnalité déjà bien marquée. C’est pour moi un jeu à double détente ; je dois donc organiser ce dîner ; trouver un excellent restaurant dans un cadre approprié et discret, de réserver une table et, sur place, j’aurais à régler l’addition en bon mari amoureux que je suis. Elle profite bien évidement des 24 h précédents ce rendez-vous galant pour m’aguicher, et s’amuse à me faire bander en me branlant très régulièrement tout en me précisant que j’ai interdiction de jouir jusqu’à nouvel ordre car elle contrôle à présent ma sexualité pendant qu’elle fait ce qui lui plait pour son bon plaisir avec ….”qui elle veut à présent” me dit-elle avec malice. J’adore?! En fin d’après-midi elle prend son temps pour se préparer et choisir sa tenue. Elle recherche une tenue à la fois élégante et sensuelle dans laquelle elle se sent parfaitement bien tout en restant très “bon chic bon genre” comme elle aime le rappeler. J’ai pour consigne de préparer les préservatifs que je dois mettre dans son sac et de lui attacher sa chaîne de pied en or dans laquelle, plus tard, elle enfilera une petite clé très particulière. Je dois pour cela me mettre à genoux non sans penser aux délicieux supplices à venir alors qu’elle soulève sa robe et me fait humer son sexe humide dans lequel elle passe son index avant de me présenter sa main pour que je le suce. Bénédicte exige aussi que je me prépare : il s’agit tout simplement pour moi de mettre dans un petit sac spécialement conçu à cet effet ma cage de chasteté et sa petite clé de verrouillage et que je lui donne pour qu’elle la prenne avec elle dans son sac à main. Elle s’amuse ainsi de temps à autre à me frustrer par ce biais estimant à juste titre que je deviens bien plus disponible et obéissant, m’imposant ce port de manière variable en fonction de son humeur et pour une durée tout aussi aléatoire allant de deux à trois jours à plus d’une semaine. A 20 h j’avance la voiture, l’attend et lui ouvre la portière- elle monte à l’arrière- et la conduit au point de rendez-vous où nous retrouvons notre ami qui est comme d’habitude est à la fois extrêmement élégant, courtois, attentif, sympathique et beau. Nous l’aimons beaucoup tous les deux. Durant l’apéritif, alors que leurs jambes et leurs pieds se frôlent et qu’ils se bécotent, s’amusant déjà ainsi avec lui, elle lui glisse dans l’oreille en me regardant qu’elle va aller enlever sa culotte déjà toute mouillée. Elle file aux toilettes non sans s’être retournée vers vous avec un discret petit sourire. Bénédicte revient après quelques minutes et, avant de s’assoir glisse sa belle culotte noire dans les mains de notre ami en nous regardant et en nous disant “je suis toute mouillée et très disponible à présent?». Inutile de vous dire qu’il est en feu notre ami…et moi aussi. Elle est si belle et provoquante?à souhait ! Juste avant que le serveur ne nous présente les entrées (elle a choisi pour moi…) elle sort le petit sac qui m’est destiné et s’adresse à moi fermement en ces termes -?Tiens ! il est temps à présent?! Va mettre ta cage?! Tu en as assez profité pour l’instant il est grand temps d’aiguiser tes frustration mon chéri?. Elle sait que je bande et un sourire malicieux rayonne sur son beau minois car elle songe avec délice et perversité aux difficultés que je vais avoir à sceller cette cage de chasteté risquant bien d’y passer un peu de temps et très surement d’arriver une fois qu’ils auront dégustés en tête à tête cette succulente entrée. De retour à table, une fois “encagé”, elle me toise du regard, me tend sa main pour que j’y dépose la clé de verrouillage. Elle détache alors sa chaine de pied et vient y glisser la clé dans la chaine qu’elle referme en me disant «?tu vois mon amour tu seras un peu avec moi ce soir?». Pendant le dîner, ils se caressent et s’embrassent devant moi. Elle me regarde très souvent avec un air coquin, complice sachant aussi, qu’étant totalement contraint et enfermé dans ma cage de chasteté cette situation extrême m’excite beaucoup. A deux reprises, je devine à son regard que notre ami a glissé sa main entre ses cuisses et qu’il la caresse. Le visage de ma femme bien aimée imprime ses plaisirs et je devine à sa pose évolutive qu’elle écarte de plus en plus ses jambes pour profiter de cette caresse discrètement mais profondément. Une fois le dessert dégusté et le café pris, elle me suggère avec son air pervers de passer à d’autres plaisirs. Elle me demande de régler d’addition et, en attendant le serveur, elle glisse sa main entre ses cuisses, ferme les yeux en gémissant doucement et me tend discrètement ses doigts humides en regardant notre ami. «?Sens donc et lèches mon amour?! tu vois je sais aussi te gratifier de tant d’attention ankara escort pour moi?et de nous avoir régalé à cette table gastronomique ! tu sauras ainsi à quel point j’ai envie qu’il me baise à présent?»…. Après avoir moi-même réglé ce repas à trois, nous quittons le restaurant?: elle est bras dessus bras dessous avec notre ami et me dit juste «?viens, tu nous suivras à trois pas !?». Ils sont bras dessus bras dessous, comme des amoureux, s’embrassent et se caressent en marchant. Une fois arrivé devant la porte de l’hôtel où notre ami a pris une chambre, elle l’embrasse longuement, profondément puis, toute émoustillée, elle se retourne vers moi, s’approche, m’embrasse et très amoureusement elle m’annonce?: «?Mon chéri, tu sais quoi?? J’aimerai beaucoup que tu m’amènes toi-même dans la chambre de notre ami commun et je serai très excitée que tu puisses me regarder pendant qu’il me déshabille j’ai envie de me donner ce soir entièrement à lui et rien qu’à lui, j’ai envie de jouir sous ses caresses, j’ai envie qu’il me prenne. J’ai envie que tu me vois jouir de ses chevauchements. Tu auras juste le droit de nous regarder et d’entendre mes gémissements dans un coin de la chambre et peut être après de venir me lécher. Qu’en penses-tu mon amour???» Il est 23H, nous passons la réception où notre ami récupère sa clé et nous observons un sourire discret de la réceptionniste avant de monter l’escalier. Elle est mignonne et ses yeux nous laissent croire qu’elle devine nos projets. Une fois dans l’escalier, notre ami glisse sa main sous la robe de ma femme et ils restent ainsi jusqu’à l’arrivée dans sa chambre au 2ème étage. Il me fait entrer en premier et m’indique un fauteuil au coin du lit en m’invitant à m’y asseoir. En souriant, très amicalement, il met une main sur mon épaule en me confiant?: «?tu en as de la chance elle est magnifique, je l’adore et je vais la baiser, elle en a très envie je crois?». Il est adorable et reste attentif à moi, j’en suis reconnaissant et même ému. Un comble que j’assume?: je vais être cocu et j’en éprouve un plaisir étrange et intense. Très vite ils s’embrassent comme de jeunes amoureux adolescents, s’enlacent, mêlant caresses et gémissements. Ils se regardent, leurs yeux sont en feu, ils se sourient. Nous savions bien, pour en avoir discuté avant, que cette «?fusion?» était à “porté de main” avec lui. Bénédicte est comme hors du temps. Elle se tortille de plaisir sous ses caresses, elle paraît insatiable. Je ne l’ai jamais vu ainsi, elle est entièrement «?libérée?» et j’en suis délicieusement surpris et heureux. Il ouvre son chemisier et lui suce les seins qui se dressent et pointent, elle se cambre et s’offre. Il la couche sur le bord du lit toute habillée, encore chaussée de ses talons aiguilles, soulève sa robe lui relève les jambes, enfile un préservatif, et la pénètre. Elle laisse échapper un cri qui en appelle d’autres. Elle est baisée et elle adore ça, je le sais, nous le savons tous les deux. J’observe avec gourmandise le va et vient luisant et raide du sexe de notre ami. Ce sexe d’homme, celui de notre complice si adorable qui s’enfonce dans celui parfumé de Bénédicte que je connais si bien et qui n’a jamais rien connu d’autre que moi! c’est un souvenir unique, intimement imprimé dans nos mémoires. Je suis moi-même au bord de la jouissance rien qu’à regarder, je suis dans un état second jamais vécu. Tout est nouveau et si bon?!. Elle se tortille de plaisir et gémie sans cesse, elle l’embrasse profondément en me regardant de temps à autres, la chambre embaume des senteurs des amours et des sexes. Je me suis assis dans ce fauteuil au coin de la chambre. Je suis fébrile, la gorge serrée avec un mélange étrange et nouveau fait d’envies, d’excitation, de plaisirs à observer, ainsi voyeur des jouissances de ma bien aimée qui se donne sans réserve. De fierté aussi ; qu’elle puisse plaire autant à notre ami qui est à la hauteur des enjeux. Mon désir est intense, profond, mon ventre est en feu et mon sexe encagé exacerbe cette perception étrange faite de frustration et de plaisir. Je suis dans un ailleurs de sensations et de plaisirs nouveaux. …je suis dans un «?ailleurs?» et je ressens des plaisirs à la fois intenses et nouveaux à regarder ainsi ma femme se faire “baiser” par notre ami. Elle et moi avions auparavant décidé d’un code?: Avant qu’elle ne jouisse pour la première fois, elle me regardera intensément et là il faudra que je me dénude entièrement. Elle veut alors observer mes désirs bandants mais contraints dans ma cage de chasteté. Elle jouira ….et moi je serai frustré, Cocu, mais heureux néanmoins car je l’aime et son plaisir est mon plaisir. J’avais imaginé que j’allais être très excitée à être “prise” par notre ami devant mon mari. Un délicieux supplice pour lui avouons-le tant mes idées deviennent pimentées quand je laisse mon imagination aller et venir. Je dois à ce stade vous faire une confidence. Habituellement, même après une nuit et journée de frustration doublée de sollicitations sexuelles permanentes de ma part, d’attitudes provocantes, de regards de garces mais aussi de caresses, de mots tendres un rien le fait «?gicler?». J’ai bien écrit gicler et pas jouir. C’est assez semblable à un orgasme ruiné?: il se répand en coulant, son sperme s’échappant sans qu’il puisse contrôler quoi que ce soit. Je l’ai ainsi «?éduqué?» à gicler sur ordre depuis longtemps. Le rituel est ainsi fixé?: je porte toujours la même robe (celle que j’ai porté lors de la rencontre avec mon premier amant), je la soulève jusqu’aux hanches, j’écarte les jambes, me caresse, et du bout de mes doigts humides je lui fais humer mes parfums intimes. Quand je retourne ma main il doit lécher et, de l’autre main après un moment quand je perçois qu’il est «?à point?» je claque des doigts….et là, il éjacule; il se vide plus précisément en coulant sans même jouir, parfois en pleurant de frustration de ne plus rien contrôler de cette délicieuse semence qui s’échappe de lui. C’est là un peu comme un réflexe primaire d’un chien bien dressé…J’adore! ….J’étais au bord de la jouissance, des vagues de plaisirs m’inondaient?; elles étaient de plus en plus fréquentes et puissantes. J’avais l’impression que j’allais être submergée tant cette étreinte nouvelle, fantasmée, souhaitée, désirée, attendue était excitante. Il faut dire que notre ami, mon amant de cette soirée était à la fois beau, élégant et avait naturellement cette qualité que j’attends d’un ou d’une partenaire?: rechercher et donner du plaisir. Aimer tout simplement?! Car sans aimer il semble difficile d’être vraiment comblée de plaisir cette alchimie du physique et du cérébral. Au quotidien voyez-vous, je suis une femme très “classique”, plutôt du type de la bourgeoise bien élevée. Mariée jeune nous ne nous sommes jamais quittés et avons fondé une belle famille dont nous sommes fiers. Un couple solide donc. Elancée, sportive aux cheveux plutôt courts, j’ai des petits seins qui se dressent à la moindre sollicitation et que mon mari adore tout comme un beau petit cul bien ferme et musclé lui aussi très accueillant. Je suis à l’aise dans tous les milieux et j’aime varier le style de mes tenues en conséquence. J’aime surprendre comme vous le devinez et je m’amuse à jouer de mon physique un peu Androgyne. Libertins nous aimons l’élégance, les belles choses, la finesse des esprits et la beauté des corps pour mieux découvrir et explorer l’éventail des désirs et des plaisirs et ….les partager toujours discrètement en suivant l’adage “pour vivre heureux vivons cachés”. Mais revenons donc à cette journée, je m’égare ! J’étais donc comblée dans.. Tous les sens du terme. Comme convenu, alors que j’allais jouir, j’ai regardé fixement mon mari assis dans le coin de la chambre. Il me scrutait des yeux avec cette lueur humide admirative. Pour lui témoigner mon amour indéfectible, je lui envoyais un baiser d’un signe de mes lèvres puis me pinçait la lèvre inférieure du plaisir donné par cet amant fougueux qui allait et venait en moi. Mon mari se rappela de notre code et se déshabilla entièrement très rapidement. Il était fébrile, ému et comme un peu maladroit?: j’ai eu une grande satisfaction à le voir ainsi dans cet état second, perdant ses moyens devant la situation et terriblement excité n’ayant en outre pas le droit de me toucher, de s’approcher de moi. Son sexe emprisonné dans sa cage de chasteté semblait bien tendu. Il semblait tout dur mais délicieusement contraint. Il bandait et croyez-moi j’en étais SA TIS FAITE. D’un coup une vague subversive m’emporta?: j’ai joui en me cambrant, en gémissant, en agrippant les draps en mordant le cousin. Un tsunami….mon amant me suivit en s’enfonçant au plus profond de mon ventre un brin de seconde après. Tout était bon, j’étais sur un nuage et m’y laissais bercer.…. Après quelques minutes, mon amant m’apporta une coupe de champagne. D’un simple signe du doigt bref et directif, j’indiquais à mon mari qu’il devait nous rejoindre et l’invitais à s’allonger à côté de moi. J’étais là, entre mes deux amours. J’ai alors embrassé passionnément mon amant au goût de champagne puis mon cher mari. J’étais heureuse et, écartant mes cuisses, j’ai demandé à mon cocu adoré de venir me lécher. Je souriais, l’imaginant gourmand, humant les parfums mélangés de tant de jouissance des sexes, le mien et celui de mon amant. Quel doux plaisir de prolonger mes orgasmes avec une langue et une bouche amoureuse, celle de mon mari qui n’attendait que ça depuis deux jours. Couchée sur le dos, ma jupe toujours relevée, mes chaussures toujours aux pieds j’écartais mes jambes et je goutais à ce léchage gourmand, appliqué, doux comme de la soie, humide et tiède à souhait tout en buvant du champagne et en embrassant avec passion mon amant. J’aimais?! je n’aurais pu imaginer vivre une telle situation, d’avoir autant de plaisirs et d’éprouver une telle satisfaction. Oui, c’est ça, j’étais fière de moi. Fière d’oser et de connaître autant de sensations nouvelles, d’avoir autant de désirs et de plaisirs, de jouir ainsi si intensément et si souvent. C’était si bon que je maintenais bien fermement la tête de mon mari entre mes cuisses en alternant au gré de mes sensations, une légère ondulation et surtout une pression plus au moins directive. …..quelques gorgées de champagnes, la langue active et dardée de mon mari mais aussi les baisers profonds de mon amant ne tardèrent pas à faire renaître des envies aux creux de mes reins et déjà, j’ondulais et frémissais de désir en gémissant. Le volcan se réveillait de nouveau, la lave bouillonnait, les flammèches se rallumaient dans mon cou, à la pointe de mes seins dressées, dans mon ventre, au fond de ma gorge serrée et haletante, mon anus se rythmait de spasmes annonciateurs et je me cambrais : j’étais insatiable. Vous savez, j’adore être embrassée, caressée, enlacée. J’avais aussi maintenant une folle envie de prendre le sexe de mon amant dans ma bouche et de le sentir reprendre de la vigueur, de le sucer, de l’envelopper de mes lèvres, de goûter à ses perles de plaisirs qui ne tarderaient pas à venir se mélanger à ma salive. J’avais aussi envie que mon mari me vois le sucer ainsi avec gourmandise. J’avais envie de voir son regard, ses yeux et sourire de son air stupéfait pendant que je suçais un autre homme. Je voulais le faire languir et du coup j’imaginais sa stupéfaction le jour où il aurait la chance de me voir me faire sodomiser. J’imaginais la dextérité de notre ami se faufilant délicatement entre mes petites fesses fermes et pénétrer ce passage étroit, fantasme de bien des hommes mais parfois craint des femmes de bonne famille. Sentir ce sexe d’amant dévoué, assez fin pour n’avoir que du plaisir, bien ferme et long pour éveiller tous les sens de mon doux fourreau de velours qui, je dois l’avouer me rend folle de plaisirs par les ricochets en échos qu’il entraîne, ricochets vibrants du cérébral au charnel. Mais je m’égare une fois de plus, revenons à mon envie de succion du mâle ; Il en rêvait, il allait être servi?!!! Mon amant avait délicatement et discrètement retiré son préservatif après nos premiers ébats et mes premiers coups de langues avaient immanquablement recueilli une partie de sa semence parfumée me rendant encore plus accro à ses odeurs. Bien évidemment, il avait débandé après ce premier round et j’avais bon espoir de lui redonner de nouveau envie et raideur afin qu’il puisse encore me baiser, moi la bourgeoise que tout le monde pense très… sage. Sourire, j’aime tromper mon monde ! J’étais très excitée et en redemandais, c’était bon, je pouvais faire tout ce que je voulais?! Tout ! Mon mari quant à lui me léchait toujours consciencieusement et je sentais l’excitation de son souffle qui trahissait la frustration de ses envies. Je l’avais en quelque sorte verrouillé entre mes cuisses et mes jambes et, comme la cavalière émérite que je suis, j’en jouais en marquant quelques impulsions pour qu’il cale son rythme à mes sensations. Je glissais alors discrètement à l’oreille de mon amant en serrant simultanément mes cuisses pour emprisonner la tête de mon mari pour qu’il n’entende rien?: «?j’aimerai l’inciter à te sucer et lui demander après de glisser lui-même ton sexe en moi, j’ai envie qu’il participe activement à son cocufiage?! Accepterais- tu qu’il te suce?? Dis oui…?!?». Elle avait tenu parole?: Elle me permettait enfin de la lécher. J’avais ce privilège longtemps fantasmé d’être ainsi entre ses cuisses et de profiter de ses parfums intimes après que son amant se soit retiré d’elle juste après l’avoir baisé et fait jouir. Mon excitation était au comble, j’essayais bien de maîtriser ma respiration qui se calait sur mes battements de cœur mais sans vraiment y parvenir réellement. Elle prenait en effet un malin plaisir à serrer ses cuisses m’empêchant ainsi de respirer normalement mais avec l’énorme avantage de pouvoir m’imprégner plus profondément de ses humides senteurs de jouissance. Déjà en temps normal j’adore la laper, la lécher pour lui procurer du plaisir?; d’ailleurs la journée elle me fait souvent un petit signe de la main accompagné d’un clin d’œil pour que je vienne à elle pour la lécher et la faire jouir ainsi. Elle sait aussi que la chasteté forcée qu’elle m’impose de temps à autre par le port de cette “cage” qui emprisonne fermement mon sexe l’empêchant même de durcir et qu’elle m’a demandé de commander par correspondance me rend encore plus aimable, attentionné et tout particulièrement docile. Je suis alors dans un état second pendant des jours et à l’affût de ses moindres désirs ou caprices. Elle s’amuse à en profiter dès qu’elle en ressent le besoin. Je ne sais plus estimer le temps durant lequel elle m’a laissé ainsi entre ses cuisses à la lécher; elle semblait apprécier car je sentais son bassin onduler de plus en plus?: attitude signant chez elle ses désirs et son plaisir. Elle chuchotait, riait et, durant les temps de silence, je devinais qu’elle embrassait son amant. En me pinçant fermement la pointe dressée d’un de mes tétons, elle me fit me redresser, et me mettre à genoux?; elle en profita pour inspecter rapidement ma cage de chasteté et nota que je coulais d’envie… elle me toisa et fermement de dit «?Je crois qu’un rien et tu t’oublierais à présent mon amour…retiens toi surtout ne te laisse pas aller?! Tu sais que seul un signe de Moi t’autorise à éjaculer comme j’aime”?! J’étais dans tous mes états, à la fois présent et dans un ailleurs, retenant ma respiration, au bord de l’orgasme. J’étais comme affolé par cette excitation qui m’envahissait inexorablement, au bord du débordement avec cette angoisse de me répandre sans son autorisation qui plus est devant son amant tant j’étais excité. Ce signe d’elle, ce simple “claquement de doigt” comprenez le bien, je l’attendais et le redoutais tout à la fois. Il signait simultanément un début et une fin : le début d’un plaisir sans en jouir, un dénie de jouissance en quelque sorte avec ce sentiment d’être toujours sous son contrôle. Elle m’avait ainsi patiemment conditionné au fil du temps avec mon consentement et éduqué sous forme de jeux sexuels à la fois par la contrainte et la récompense, la tendresse et la sévérité. Tout repose sur un triptyque : la vision, l’odorat et le son. J’étais dans un état second, soumis, cocu et amoureux, reprenant mes esprits, avalant ma salive pour prendre un peu d’assurance. «?Regarde-moi et réponds-moi?!?». Je lui répondis «?Oui ma chérie”. Elle était radieuse et me remercia pour la dextérité de ma langue en souriant?: «?tu es un amour, j’ai adoré te sentir ainsi me lécher et pour te remercier de tant d’attention je te permets de rester là avec nous et de gouter toi aussi comme moi à quelques plaisirs. Allonge-toi là sur le dos là, entre nous deux?!?». J’étais au centre, ma femme d’un côté, son amant de l’autre et mon visage s’est retrouvé à hauteur de leurs sexes. Elle prit celui de son amant en le serrant entre pouce et index un peu comme les plongeurs qui font signe que tout va bien. Cette pose gracieuse de la main signifiant pour moi «?je vais te masturber?». Notre ami, aux anges, rebandait déjà doucement. Elle me regarda dans les yeux et le branla tout doucement en me disant?: «?regarde bien tu aimerais être à sa place n’est-ce pas?? Il est délicieux tu sais, il m’a vraiment fait jouir et j’ai envie de le sucer à présent tellement il est bon, regardes comment je fais, j’adore ça tu sais?!?». Quel spectacle?! Là, juste au-dessus de mon visage?! Le sexe de notre ami dressé et dur et ma femme qui le lèche, le suce, l’enferme de ses lèvres, l’enfonce dans sa bouche, va et vient en me regardant. Oui c’est vrai, j’avais fantasmé, imaginé, j’en avais rêvé et elle le faisait là devant moi avec plaisir et audace. Sa bouche toute humide quitta doucement le sexe de son amant. Elle s’approcha de moi et m’embrassa tout en me restituant avec précaution mais détermination beaucoup de salive qu’elle avait pris soin de produire. C’était à postériori un peu comme un passage de témoin. Je perçu alors cette délicieuse sensation d’un breuvage envahissant?: mélangé à sa salive, l’odeur de l’homme, je goûtais au sexe de son amant et j’en gémissais, je respirais fort comme pour en imprégner toutes les subtilités au plus profond de moi. Tout sentait le sexe, la pièce en était embaumée et nous enivrait Avec son petit air à ne pas y toucher de bourgeoise bon chic bon genre très bien élevée, instruite et bien éduquée chez les bonnes-sœurs et son sourire narquois, elle observa avec satisfaction ma gourmandise et mon plaisir et me glissa?: «?tu as l’air d’apprécier mon amour, je ne savais pas que le sexe d’un homme dans ma bouche allait te faire te tortiller ainsi?; tu voudrais peut-être le sucer toi aussi?? Veux-tu y goûter??. C’est un délice tu sais. J’aimerais tant te voir sucer un homme devant moi et mon amant qui plus est…quelle délicieuse perspective n’est-ce pas?”. Elle approcha son sexe dur et dressé de ma bouche «?suce-le mon amour, profites-en avant qu’il ne me baise encore et que j’en jouisse?». Je l’ai tout d’abord léché tout en partant du gland puis, me surprenant moi-même je l’ai pris en bouche pour le sucer et me laisser aller à prodiguer avec application cette caresse enveloppante au rythme des gémissements de notre ami. J’ai sucé l’amant de ma femme bien aimée sous ses yeux émerveillés. Une surprise d’une délicieuse perversité dont elle a le secret. Retour en arrière… Une fois arrivé devant la porte de l’hôtel où notre ami a pris une chambre, elle l’embrasse longuement, profondément puis, toute émoustillée, elle se retourne vers moi, s’approche, m’embrasse et très amoureusement elle m’annonce?: «?Mon chéri, tu sais quoi???» ……..Vous vous souvenez probablement de ce passage. A ce moment une autre option aurait pu changer le cours des choses et des plaisirs. Cette option est un fantasme et j’aimerai bien un jour que ma femme puisse ainsi m’annoncer…… …..”je ne sais pas combien de temps nous allons nous donner du plaisir ensemble, je te demande donc d’aller te promener quelques heures puis de m’attendre dans la voiture le temps qu’il faudra. Tu resteras bien sûr très attentif aux sms que je vais t’envoyer de temps à autre pour te dire où nous en sommes et te faire partager mes plaisirs au fur et à mesure qu’il me fera grimper aux rideaux. Tu pourras ainsi imaginer…sans voir sans entendre, sans sentir! quelle chance tu as mon amour! Quand ton téléphone sonnera je serais probablement épuisée et te demanderais de venir me chercher, tu …reviendras ici te gareras devant la porte de l’hôtel pour me récupérer à moins que… je ne te dise alors que je décide de passer toute la nuit ici avec notre ami. Tu vois mon amour je sais que tu adorerais languir ainsi en m’imaginant dans ses bras et être baisée toute la nuit en me donnant toute entière et sans retenue à notre ami. Dans ce cas, tu rentreras seul? en voiture. Ne t’inquiète surtout pas, nous savons tous deux que c’est un Gentleman et il me raccompagnera demain matin après que nous ayons petit-déjeuner. Tu pourras ainsi languir toute la nuit et la matinée à ta guise en m’attendant et sans même pouvoir te branler, je ne parle même pas de jouir?!? Qu’en penses-tu mon amour?? N’est-ce pas là une idée géniale dont je rêve depuis longtemps ? Allez, file à présent, tu es adorable mon chéri, je t’aime?! Tu m’attendras patiemment n’est-ce pas ? Si tu te montres très attentif à moi lors de mon retour peut-être te raconterais-je combien tout était bon. En tous cas, saches que je ne me doucherais pas avant de te revoir. Tout en moi sentira le sexe, les parfums des désirs, les sueurs des chevauchements, les griffures des amours et les traces des plaisirs : je sais que cela te fera grand plaisir et que tu imprimeras à jamais en toi comme au fer rouge ses délicieuses perceptions de mes propres jouissances pour que j’en jouisse toujours. Je te gratifierais alors peut-être par la suite à la hauteur de mes plaisirs de la nuit…. Ou pas!….” Epilogue Les jeux aussi débridés soient–ils, les fantasmes et les plaisirs des sens n’ont de sens sans complicité et consentement, sans finesse et courtoisie, sans poésie et rêveries. L’Amour est Roi. J’ai ainsi imprimé sous forme d’épilogue ce poème d’une rencontre, ces mots d’amour d’un plaisir partagé hors du temps à trois. Puissiez-vous en éprouver quelques désirs et surtout vous laisser rêver et laisser votre imagination en jouir.

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