Chap 26 : La commerciale (suite)

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Chap 26 : La commerciale (suite)Après ma nuit coquine et complice avec Clémence, la commerciale, il était évident que je la voyais différemment. Alors que certains de mes collègues la considéraient toujours comme une coincée du cul, je souriais intérieurement lorsque je les écoutais la critiquer. Si seulement ils avaient pu voir, comme moi, sa collection de sextoys. Si seulement ils savaient qu’elle est super chaude au lit. Comme elle me l’avait si bien dit, elle cache bien son jeu. Toujours est-il qu’entre Clémence et moi, rien n’avait changé. Entre le lendemain de notre collaboration charnelle et toute la semaine suivante, pas un bonjour, pas un mot échangé. Il n’y eu qu’un simple regard un matin, suivi d’un petit sourire en coin. Nous faisions comme si rien ne s’était passé. Je commençais à me faire à l’idée qu’il n’y aurait pas de suite à notre soirée intime. Cela s’était produit une fois, comme ça, le plus naturellement du monde, entre deux personnes qui avaient envie de prendre du bon temps à l’instant “T” et point. Pourtant je me souvenais de ses mots: “la prochaine fois”.Le mardi de la semaine suivante, je me change tranquillement dans le vestiaire. En sortant, je croise Clémence dans le couloir.- Salut ça va?Je suis un peu étonné qu’elle m’adresse la parole, mais je lui réponds avec le sourire.- Je vais très bien et toi?Elle est pressée et me demande à la va-vite:- Tu es libre ce soir?- Oui pourquoi?- Ça te dit de venir manger à la maison?J’accepte sans hésitation, espérant que cela se termine comme la dernière fois.- Pour 19h30 ça ira?- Je serai à l’heure.Pendant toute la journée, j’ai imaginé ce que sera la soirée. Je repensais à notre première rencontre, à cette sympathique soirée et à nos ébats cochons. Je n’avais qu’une hâte, que la journée passe le plus vite possible.En rentrant chez moi, j’ai pris une douche, sous laquelle j’ai évacué la pression à l’aide d’une bonne branlette. Je me suis rasé, puis habillé dans une tenue classique, jean’s et sweat-shirt, mais sans sous-vêtement. J’ai mis un peu de parfum “Hugo Boss” et en avant la musique.Sachant qu’elle aime le vin, je suis passé acheter une bouteille de Bordeaux chez un petit caviste et direction l’immeuble de Clémence.Je frappe à sa porte le cœur battant la chamade. Elle m’ouvre avec le sourire, ses yeux pétillent de joie. Elle ne porte rien d’extravagant, mais je la trouve sexy. Un petit débardeur sans manche à bretelles rouge qui me laisse deviner qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, et une petite jupe noire légère lui arrivant juste au dessus des genoux. Ses cheveux sont détachés et elle est pieds nus, les ongles vernis de rouge. Bref comme je vous le disais dans mon histoire précédente, ce n’est pas un canon de beauté, mais elle a un petit quelque chose qui me charme.- Vas-y entre.- Tiens, je t’ai apporté un petit cadeau.- Merci, c’est gentil. Tu comptes me saouler et abuser de moi, dit-elle en souriant.- Qui me dit que ça ne va pas être l’inverse?Notre complicité reprend ses droits.Je m’installe dans son salon pendant qu’elle débouche la bouteille dans sa cuisine. Sur la table basse, quelques petits toasts, un peu d’olives, un cendrier, son paquet de marlboro light et 2 bougies allumées. La lampe halogène éclaire légèrement la pièce, ce qui donne une ambiance assez cosy, presque érotique.Elle me rejoint avec deux beaux verres à pied bien remplis et s’assoit à l’autre bout de canapé.Nous trinquons à nous et dégustons ce vin délicieux. Elle débute:- Alors comment vas-tu depuis l’autre jour.- Ca va plutôt pas mal et toi?- Je vais bien aussi. Tu ne m’en veux pas trop de t’ignorer au taf?- Non, je comprends que tu veuilles garder une part de discrétion. Par contre si tu pouvais éviter de mettre ta petite robe blanche à l’avenir…- Pourquoi, elle ne te plait pas?- Si au contraire, j’avais envie de te sauter dessus.- Oh, vilain garnement. Je la remettrai rien que pour t’embêter.Nous avons ensuite parler de la pluie et du beau temps, du boulot, de son fils qui est à nouveau chez son père cette semaine. Puis Clémence est revenue sur ce qui nous a permis de se rencontrer.- Et illegal bahis dis-moi, le petit vibro pour ta copine, tu lui as offert?- Oui, mais elle n’a pas vraiment apprécié. D’ailleurs, on s’est séparé.- Ah merde, pourquoi?- Bah, elle trouvait mon cadeau un peu trop osé parce qu’on était ensemble depuis pas longtemps, qu’en gros je ne pensais qu’au sexe, on s’est disputé et voilà on s’est quitté, c’est aussi bien comme ça.- Bon, tant pis pour elle, elle ne sait pas ce qu’elle loupe. – Oui, c’est pas grave, j’en trouverais une autre. Et toi alors, tu as essayé tes nouveaux jouets? dis-je curieux.- Oui, petit malin.- Et alors?- Et alors quoi?- Ils sont bien, tu as bien jouis?- Oui, pas plus tard qu’hier- T’es une sacrée coquine hein?- Tu peux parler, je suis sûr que tu aimerais me voir avec…- Oui, j’avoue, tu te lances?- On verra plus tard.Un verre en entraînant un autre, nous vidons la bouteille en l’espace d’une heure. Nos esprits commencent à s’échauffer.- Tu vas devoir rester dormir ici, dit-elle un brin espiègle.- Ha bon, parce que tu as déjà envie de dormir? En plaisantant.- Oh non, si tu savais de quoi j’ai envie…- Et de quoi as-tu envie? M’attendant à une proposition indécente.- J’ai beaucoup marché aujourd’hui, serait-ce trop te demander un petit massage des pieds? – Je peux faire ça pour toi.Clémence s’allonge sur le canapé, la tête sur l’accoudoir et pose ses pieds sur mes cuisses.Je me mets à l’œuvre et masse ses jolis petits petons l’un après l’autre. Je palpe fermement ses talons, je roule mes deux pouces sous sa voûte plantaire en appuyant juste ce qu’il faut. Par moment, je la chatouille, cela la fait gesticuler. Cela a pour effet de faire remonter sa jupe et me permet d’entrevoir un bout de tissu blanc.De la pulpe de mes doigts, je parcours la pulpe de ses orteils.- Hum, c’est très agréable, me lance-t-elle avec un grand sourire.Je la sens détendue, elle profite de ce massage pédestre en fumant une clope.C’est le moment où je décide de porter son pied à ma bouche. Je dépose de tendres baisers sur son coup de pied, puis sur la plante. Je bisoute chacun de ses orteils et les suce l’un après l’autre.La maitresse de maison soupire lorsque que je lèche son pied de bas en haut. Elle gémit au contact de ma langue sur ses doigts de pieds. Je réalise la même chose avec l’autre. Cela lui fait de l’effet.- Tu commences à m’exciter, bien joué.- C’est le but dis-je en lui souriantElle retire son haut et se caresse les seins alors que ma langue continue de voyager sur son gros orteil.De son autre pied, elle frotte mon pantalon et je ne mets pas longtemps à durcir. Je lèche, suce, mordille, glisse ma langue entre ses orteils. Elle kiffe son plaisir. – Retire ton pantalon.Je me déshabille entièrement sous son regard lubrique. Toujours allongée, elle soulève son bassin et ôte sa jupe. Je reste bouche bée. Elle porte une petite culotte fendue blanche transparente. Je bande de plus belle. – Tu n’avais pas assez d’argent pour t’acheter une culotte sans trou?- Assis-toi gros bêta.Assis sur le canapé, elle caresse ma verge avec ses pieds. Elle tâte mes coucougnettes.- Après cet agréable massage, tu mérites une récompense.- C’est vrai, j’ai eu une bonne note maîtresse?Elle rigole et commence à me branler entre ses pieds. Elle me décalotte habilement et me masturbe avec dextérité. Je suis aux anges et commence à gromeler.Elle m’astique de plus en plus vite.- Ça te plait comme ça?- Hum oui, mais je préférais avec ta bouche.- Hum, tu as envie que je te suce?- Oui, viens goûter ma grosse andouille à col roulé.- Grosse, grosse, c’est vite dit…Elle m’a cassé. Mais je ne me vexe pas.- Tu préfères les gros calibres?- Oui, j’avoue, mais tu sais ce qu’on dit, il faut mieux une petite travailleuse qu’une grosse feignante.- Exact, et puis, elle n’est pas si petite que ça…- Non, elle me convient très bien et le principal, c’est que tu saches t’en servir.- Et je pense que je te l’ai prouvé, sinon tu ne m’aurais pas demandé de revenir.- Je te l’accorde. Bon allez écarte tes cuisses, laisse passer la dame.Clémence se met à genoux au sol et se saisit de mon illegal bahis siteleri manche. Elle me branle en embrassant l’intérieur de mes cuisses, mes adducteurs, dans le creux de l’aine. J’halète doucement. Ses coudes posés sur mes genoux, elle me lèche la hampe, titille mon frein de la pointe de sa langue, aspire mon gland puis m’avale d’une traite. Je ronronne de plaisir en recevant cette pipe de plus en plus baveuse. Soudain elle s’arrête.- Tu veux que je te montre un truc qui me fait trop marrer?- C’est quoi?- C’est ça.Elle glisse ma tige dans sa bouche et la fait ressortir en l’appuyant fort contre l’intérieur de sa joue. “POC”. Elle recommence, “POC”.Elle joue avec ma queue en faisant comme quand on est gamin et qu’on met son doigt dans sa bouche pour imiter le bruit d’une bouteille qu’on débouche.Elle m’éclate. Elle a 36ans, moi 24, elle a été mariée, a un fils de 14 ans, une bonne situation professionnelle et pourtant j’ai l’impression que c’est une copine de mon âge. Tout est simple et sans complexe avec elle.Elle se lève et se pose face à moi, les genoux de chaque côté de mes cuisses. Je passe mes mains dans son dos et embrasse ses seins ronds siliconés. Je les pétris, les malaxe, on dirait des vrais.Elle passe ses bras autour de mon cou et m’embrasse goulument. – Viens, j’ai envie de toi.Je dresse ma queue à la verticale vise la fente de sa culotte. Elle s’abaisse lentement. Ses lèvres gluantes coulissent le long de mon sexe et elle entame de lents va-et-vient sur ma colonne de chair.Pendant le coït, on ne cesse de se regarder dans les yeux. On se sourit en gémissant.- C’est quand-même mieux sans capote non?- C’est clair, dis-je tout excitéOn s’embrasse à nouveau pendant qu’elle remue et ondule de plus en plus vite.Nos langues bataillent a l’extérieur de nos bouches, elle me la suce. Elle me fait délirer. Je la soulève, elle s’agrippe à mon cou et ses jambes s’enroulent autour de ma taille. Liés par nos sexes, on fait volte-face. Je la dépose sur le canapé et maintenant, c’est moi qui suis dessus. Je l’att**** par les chevilles et écarte ses jambes en “V”. Elle a les fesses dans le vide et je la lime à grands coups de reins. La commerciale miaule.- Ouh, ouh, ouh, oui, encore.J’accélère et la défonce royalement. À chaque aller-retour, elle émet un son.Mon éjaculation est imminente, je la pénètre encore vigoureusement et lorsqu’elle ressent ma semence investir son vagin, elle part dans un orgasme fou.- Et bien…tu t’es surpassé là. Autant l’autre jour c’était sympa, autant là…Whaou!!!- Oui, je me suis lâché un peu plus que l’autre jour.- Tu as bien fait, je vais finir par t’adopter.- Tu peux, maintenant que je suis libre.- Ne me tente pas trop…mais tu me donneras ton numéro avant de partir.- Ok. Donc, toi aussi tu aimes le sexe un peu bestial?- Oui beaucoup si c’est fait avec respect et sans v******e.- Pareil pour moi.- Bien, tu as une petite faim?- De toi seulement.- Tant mieux, j’ai la flemme de faire à bouffer. – Vivons d’amour et d’eau fraîche.- Tu sais parler aux femmes toi, on poursuit dans ma chambre?- Dans ta chambre, dans ta cuisine, dans ton salon, où tu veux.- Hum, tu penses avoir assez d’énergie pour le faire dans toutes les pièces?- Ton appart n’est pas si grand, avec un petit sourire malicieux.Et c’est ce qu’il s’est produit. Après avoir couché dans le salon, nous avons niqué dans la cuisine, nous avons baisé dans la salle de bain et nous avons fini dans sa chambre. J’y ai enfin eu le plaisir de la voir s’encanailler avec son nouveau vibro pendant qu’elle me faisait une délicieuse sucette durant laquelle elle mit un point d’honneur à engloutir mon liquide crémeux.Mais c’est en revenant d’une pause clope bien méritée, que j’ai compris qu’elle était encore plus perverse que moi.De retour dans la chambre en pensant me coucher, Clémence m’attend bien sagement à quatre pattes, l’arrière-train dans ma direction. Elle suce un gode, la chatte ruisselante et un doigt dans son anus.- Mais qu’est-ce que tu fais? Tu n’es pas rassasiée?- Non et visiblement toi non plus.Je ne m’en suis même pas rendu compte, mais canlı bahis siteleri je bande encore.- Tu ne t’es pas encore occupé de mon petit trou, il est jaloux.- Il est propre au moins, dis-je taquin.- Vérifie par toi-même.Elle se cambre en avant, plaque ses deux mains sur ses fesses pour les écarter de manière impudique.- Mais c’est qu’il a l’air d’avoir faim cet a****l, tu ne l’as pas nourri depuis quand?- Depuis la dernière fois qu’il t’a vu, ricane-t-elle.Je continue de blaguer sur son orifice en cajolant ma verge tendue.- T’es sûre qu’il ne va pas me mordre? Il n’a pas la rage j’espère.- Non, il est très doux et affectueux.- Et il a un petit nom?- Euh…oui, moule à crottes.J’explose de rire.- Hahaha, moule à crottes, oh c’est nulElle rigole aussi de sa connerie.- Hihihi, désolé, c’est le premier truc qui m’est venu à l’esprit.Je monte sur le lit à genoux derrière elle, la vision de son trou de balle m’électrise. Je lui masse une fesse fermement, puis me penche pour l’alimenter d’une feuille de rose afin de la lubrifier.Pendant que je galoche sa merveilleuse rondelle, j’entends les bruits de succion qu’elle fait en suçant son tube de latex. Même après avoir fait l’amour plusieurs fois, j’arrive encore à être surexcité.Je la prépare bien, car je sais d’avance que cette future sodomie va durer un petit moment. Je laisse couler un filet de salive sur son petit trou que j’étale bien avec mon majeur, avant de l’insérer dans son rectum. Puis j’y ajoute mon index. J’opère méticuleusement alors qu’elle chouine en s’enfonçant le gode dans la chatte.- Viens, je suis prête. Sachant que tous les délires sont possible avec Clémence, je pars en trip.- Me voilà, je suis Frodon, le seigneur de ton anneauElle réplique à ma vanne d’une voix sensuelle.- Oui mon petit hobbit, viens visiter ma contrée.Nous savourons cet instant fugace en nous souriant.Après les rires, place à la débauche.Je m’applique à m’enfoncer lentement dans son tunnel. Je jubile car j’adore la première pénétration. Voir mon sexe disparaître progressivement, sentir cet étau chaud qui me serre et au fur et à mesure le sentir s’assouplir et se dilater.Clémence couine de plus en plus fort sous mes coups de butoir de plus en plus brutaux. La face gauche de son visage écrasée contre le matelas, je la démonte comme un barbare. Elle se malaxe un sein et se gode vigoureusement. Elle hurle sa jouissance:- Ah, Ah, Ah, Aaaaah!!!Son orgasme est tonitruant. Tout son corps se contracte et l’intensité de ses spasmes me surprend. Elle dépose son sextoy et d’une faible voix me dit:- Oh la vache, j’en peux plus.Mais je ne m’arrête pas là, j’ai une idée bien précise d’une position que je n’ai jamais essayé.Je la retourne sur le dos et façon culbuto, je mets ses jambes en arrière. Elle est maintenant sur ses épaules, les genoux de chaque côté de sa tête et le cul bien en l’air. Je suis debout au dessus d’elle et de dos. Son trou béant rouge écarlate m’appelle.Je pose mes mains sur le dessous de ses cuisses et dès que je l’enfile, il y a un bruit d’appel d’air. Je ressors et rentre à nouveau, même son. Je m’amuse alors plusieurs fois à faire le même geste.- Hum, ouuuhhh, tu fais un concert ou quoi? m’interroge-t-elle.- La musique ne te plait pas?- Si, mais je suis épuisée.- Il ne fallait pas me chauffer…J’arrête de jouer et la martèle vite et fort, les ressorts du lit résonnent.Après 20 minutes de sodomie, son agonie se termine. Sentant que je vais exploser, j’évacue de son cratère avant de me branler rapidement en visant son anus. Je gueule de plaisir lorsque j’expulse mon foutre et qu’il inonde son cercle tuméfié.Le réveil fut brutal, à peine 4h de sommeil. Mais ça en valait la peine. Comme la fois précédente, je me suis levé plus tôt pour repasser chez moi avant d’aller travailler. Je n’ai pas oublié de lui laisser mon numéro de portable sur un petit bout de papier avec un petit mot. ” Appelle-moi quand tu veux. Bisous”Clémence ne m’a pas appelé cette semaine là. Nous avons juste échangé quelques “sextos”.Au boulot, on ne se parlait toujours pas. Personne ne pouvait se douter que nous devenions amants, malgré nos sourires et nos regards complices. La semaine suivante, ayant la garde de son fils, on ne s’est pas revu. Mais dès le lundi suivant, j’ai reçu un coup de fil aux alentours de 20h. Sur l’écran de mon portable s’est affiché un prénom: Clémence…

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